Trolls de tests

Ah ben justement je me disais cette semaine qu’il faudrait que j’essaie de le retrouver ce topic, avec celui d’Ouragan sur les tests :smiley:

Hop, indexé :jap:

Sonic le hérisson

Ne l’achetez pas ( :riva: :riva: ) Je lui met 3/20 parce qu’on peu aller vite même 5 ans après ce jeu est toujours aussi pourri avec néamoins une quête longue .

Donc selon toi, Sonic the Hedgehog est sorti il y a 5 ans ? :lol: :heink:

Attention avis perso, sujet à polémique…

Pour commencer, la configuration nécessaire, élevée: 1Go de RAM est très limite, on recommande vivement 1.5Go, avec un processeur et une CG récentes, en effet le jeu est en streaming, et les chargements sont très très longs à chaque mort, sauvegarde ou chargement.

Le jeu en lui-même: un RPG en troisième personne, dans un univers où les orcs ont asservi les humains et assiégé leur roi dans la capitale. Toutefois des groupes de rebelles subsistent. Ici intervient la principale attraction du jeu: vous pouvez prendre parti pour les orcs (attention le personnage n’est pas personnalisable, vous aurez forcément un humain et serez donc une sorte de “collabo” si vous choississez les orcs :D) ou pour les rebelles, ce qui entraine un scénario différent, très sympa si on compte rejouer ou même si on recherche une interaction poussée avec le monde de jeu. Les quêtes manquent toutefois de variété: il s’agira souvent de tuer des monstres, de nettoyer une ville occupée ou un camp de rebelles ou de collecter des objets… Toutefois vous serez moins dirigé que dans Oblivion, ce qui peut plaire à certains mais aussi entrainer des bloquages dans la progression assez frustrants.

Le système de combat est selon moi le point le plus déplorable, avec l’optimisation, d’un jeu qui avait du potentiel: les combats contre les monstres et autres animaux sauvages relèvent du suicide, même aux hauts niveaux on recule devat deux ou plus sangliers, qui s’ils vous touchent une seule fois vous tueront à coup sûr sans que vous puissiez placer une attaque. Au contraire les combats contre les orcs ou les huamains sont d’une facilité extrêmement frustrante: il est tout à fait possible de tuer tout seul sans utiliser d’objets de soin une cinquantaine d’orcs à la suite pour libérer une ville…

En marge de tout ça, Gothic propose quelques petits “bonus” sympas: la cuisine, aspect assez travaillé puisqu’il vous faut trouver des recettes, des ingrédients variés et des ustensiles, comme pour l’alchimie ou la création d’armes. La progression se fait via des maîtres auprès de qui vous pouvez dépenser des points de copétence gagnés à chaque niveau pour acquérir les capacités qui vous intéressent. Ces maîtres sont payants. La magie m’a semblé assez négligée dans le jeu, avis aux joueurs de mages.

Conclusion: grosse déception en ce qui me concerne, Gothic peut toutefois être un bon RPG si l’on peut y jouer dans de bonnes conditions et que l’on a été déçu par Oblivion… Ma note: 11/20

Niveau ambiance il est tres prenant!En fait, il a bon aprtout, sauf sur les combats!Je partage la meme frustration que toi :confused:

Delà à mettre un 11/20. :??:
Sinon je peux faire la même chose avec Oblivion.

Oblivion:
Durant de nombreux mois,nous fumes bercé par le marketing flamboyant de Bethesda à un point tel que je trépignais d’impatience de jouer à ce jeu alors même que Morrowind m’avait profondément déçu.

Il faut bien avouer que selon les dires de Bethesda,ils se concentraient sur les gros défauts de Morrowind:Manque de vie des PNJ,le scénario,de meilleurs dialogues…

C’était très séduisant surtout que l’on nous montrait des vidéos fascinantes:La femme
qui s’entrainait à l’arc chez soi et qui épuisée allait se mettre au lit.Et là,tadam,un chien surgit et la réveille,ce qui provoque l’ire de la femme qui atomise le clébard à coup de boule de feu.
Bon,l’exemple était d’une connerie confondante mais j’étais amoureux et tout le monde sait qu’on est parfois très con dans cette situation.En plus,ils avaient donné un nom fabuleux à leur IA:Radiant AI.Alors,bon…

Résultat,après des mois d’attente,l’objet de tous les désirs me tombe dans la pogne.
Et c’est parti.

Début classique,on tombe sur la création des personnages,on clique un peu partout pour voir le bestiaux sous toutes les coutures ,on s’émerveille et là,c’est un peu le drame.
Quelque soit l’effort que l’on fait,on n’arrive pas à faire un beau personnage.En fait,on fait juste des “monsieur ou madame patate”,bref de grosses caricatures d’américain gavées au beurre de cacahouètes.
Conclusion,Bethesda est toujours aussi nul pour faire de beaux visages.

On continue tranquilos:Présentation de la quête :blabla et là,2 ème déception,c’est toujours aussi bateau niveau scénario,bon limite je m’en fous.

2-3 heures plus tard,je sors du donjon le sourire aux lèvres et là,craquage de mâchoires , c’est uber beau. :love:
Je zieute un peu partout émerveillé , je vais me fritter avec les crabes des marais et
là,un doute me tenaille:“Hisvin,mon petit,soit t’es devenu un dieu des FPS,soit t’as foutu le jeu en mode facile” manque de bol,pour mon amour propre,c’est le niveau de base.
Moui,je passe totalement,à l’époque,cela ne m’avait quasiment rien fait.
Après avoir vadrouillé,je rentre dans la ville et fais quelques quêtes,rien de bien affriolant,ce sont des quêtes de types “fedex” ultra téléphonées avec une boussole tête chercheuse qui te saccage tout le gout de recherche.
Au final,je finis par sortir dans la cambrousse vu que j’en ai marre des cons qui te filent des quêtes fedex.

Fin de mon expérience… :paf:

J’exagère bien sur. :na:

Bon,je continue.
Enfin,sortie de Pa…euh,de la ville,je me promène à droite et à gauche pour me rendre compte que le bled,c’est un pur emmental.Des trous partout plein de méfants monstres…
A la warrior,je descends dans le premier…Ben,voila,rien de plus à rajouter. :o

C’est beau,le son est nickel,il y a des pièges en polystyrène et des bisounours qui défendent le coin. Bref, c’est le club méditterarmé…Pour faire simple,c’est au donjon,ce que le camembert president est au camembert au lait cru…Dois-je expliquer???

On va faire court.Les guildes,c’est pareil que les quètes du péquin de base:Bateau et facile.
Le scénario principal,je ne sais pas et je m’en bat le coquillage.
Le niveau de difficulté,on l’aura compris est très faible.
L’ia est une purge.
Les dialogues sont du niveau d’un jeu console:Sujet,verbe,complément + grosse dose de niaiserie.

Bref,finalement, :neutre: .

14/20 parce qu’il y a une grosse communauté et de bons patchs qui te modifient fondamentalement le jeu.

Sans patch,le jeu 10/20. Normal,il est moyen en tout et sans saveur.

Bah,dès qu’il y a un facteur humain ,cela ne peut que partir en sucette. :neutre:

En même temps un topic pour déconseiller des mauvais jeux c’est moins efficace que de dire clairement quel jeux sont bon et quels éléments on trouve bon. Par exemple si je dis “c’est super on a une grande liberté” celui qui aime les chemins tout tracés saura qu’il n’aimera pas ce jeux. Tu me diras que ça marche dans l’autre sens mais comme il y a plus de jeux qu’on n’aime pas que l’inverse autant parlé en positif.

C’est sûr qu’il est toujours plus facile d’exposer les points négatifs que les points positifs :smiley:

Après, hisvin a raison sur le fond, même s’il exagère un peu sur la forme (c’est lui qui le dit :o) :neutre:
Oblivion a aussi été ma déception de 2006 :confused:

:oui:
Pareil pour Oblivion.

Pour ma part il est difficile de dire ça puisque Oblivion était mon premier jeu de rôle.

Ah, oui là c’est sûr que comme premier essai il doit être très sympa :wink:

Sinon, quelques mois après… Anno 1701 :

(sortit en novembre 2006)

Très joli, très agréable et pas mal rodé question mécanismes, le jeu n’en reste pas moins assez lassant sur la longuer, mais c’est un peu le lot de tous les jeux de gestion de ce type.

Les scénarii solo sont sympatiques et permettent de découvrir le jeu petit à petit sans être noyé tout de suite sous toutes les constructions possibles, et qui plus est pas trop difficile.
Les parties libres sont évidemment les plus intéressantes, même si on manque rapidement d’espace s’il y a beaucoup de joueurs, même sur les plus grandes cartes, amenant inévitablement à la guerre pour capturer d’autres territoires. Point de solution pacifique en effet, je trouve d’ailleurs que tout ce qui est “diplomatie” est un peu limité

Bref, au final un bon petit jeu de gestion très sympathique, idéal pour débuter avant de se faire les dents sur plus costaud :wink:

Haaa ils n’ont pas encore égalé le 1602! :love:

Quelques mois plus tard…:Splinter Cell Double Agent.

Grosse déception! Tellement grosse que je n’ai pas fini le jeu. Donc c’est un test peut-être un peu faussé…

Hormis qu’il faille une bonne config pour faire tourner quelque chose qui aurait pu s’en passer (encore heureux qu’ils aient mis plus de missions en plein air et de jour sinon avoir obligatoirement Shader 3.0 pour n’utiliser que la vision nocturne, ça la ferait pas). Il est certes beau mais c’est vraiment un jeu où je n’ai eu que peu de plaisir à y jouer.

Les soit disant dilemmes entre JBA et NSA ne sont franchement pas nécessaires et Sam dans le subconscient des joueurs est un gentil, on aura donc du mal à se trouner complètement (ce qui est impossible sinon c’est Game Over) vers les terroristes. D’ailleurs la mission principale est quand même de lutter contre et on est contraint de le faire par certains objectifs sous peine de ne pas pouvoir continuer le jeu.

La principale raison de la décpetion, ce sont les missions au quartier général de la JBA. Ch***es comme pas possible. On a 20 minutes pour joueur à un mini jeu dans le jeu. On n’a pas d’instructions sur ce qu’il faut faire (j’ai arrêté avec le mail à décrypter). Si on veut on peut aller remplir des objectifs pour la NSA mais encore une fois sans vraiment savoir ce qu’il faut faire. Alors on zone, on essaye les portes, on se balade au hasard. Mais 20 minutes comme ça, c’est franchement pas amusant.

Voilà encore une raison qui fait qu’on ne doit pas vraiment choisir un camp ou un autre. Les objectifs JBA sont chiants alors on les passe pour faire ceux de la NSA. Mais si on ne veut pas faire ceux de la NSA, bhein y a rien à foutre que d’attendre 20 minutes.

Après ces 20 minutes, on arrive enfin aux vraies missions digne des Splinter Cell. Qui sont toujours aussi prenantes que dans les précédents opus.
Manque encore de chemins différents mais il y en a plus que dans les épisodes précédents.

En conclusion, ca ressemble à un très bon film mais avec des coupures publicitaires longues et fréquentes. Malheureusement, on ne sait pas zapper ou acheter le dvd sans pub. Alors, moi, j’ai carrément changé de chaine…

Let’s go !

Heroes of might and magight V ( si qqun sait ecrire magichgt … :ane: )

Don je pense que je vous connaissez ce jeu au tour par tour :slight_smile: j’ai bien aimé mais au bout de 15h de jeu c’est fini :ouch: :ouch: pour moi 1euros = 5 heures de jeu minimum donc ca m’as un peu enervé mais heureusement il y avait des cartes a telecharger par la suite :miam: Le système est assez plaisant bien que lassant pour certaines animations :pt1cable:

Je lui met 13.5/20

Magigh ? :heink:

Sinon, une fois les campagnes terminées… il reste toujours les missions en skirmish ou le multi :smiley: Demande à Fist, il t’en parlera mieux que moi :ane:

Bon je fais un copier coller du test de NWN 2 sur mon blog .

Il parait qu’une suite n’est jamais meilleure que son modèle, que l’élève ne dépasse jamais le maître, que boire de l’alcool n’est pas dangeureux. Neverwinter Nights 2 démontre le contraire…du moins pour les deux premiers !
(l’abus d’alcool est dangeureux pour la santé, à consommer avec modération)

Mon métier ? Bruce Willis.
Comme dans tous les jeux de rôles à “l’ancienne”, vous incarnez un annonyme qui va se retrouver malgré lui, sauveur du monde. Tout commence, alors que vous fêtez un bien triste anniversaire, celui de l’attaque de votre village un an auparavent. Une kermesse est organisée et bien entendu, vous comptez bien remporter un maximum de pogn…de renommée.
Tout se passe plutôt bien, et vous gagnez forcément le concours (évidemment vous êtes un Bruce Willis en puissance…).
Mais alors que vous profitez des plaisirs d’une soirée avec une jeune…euh… alors que vous profitez d’une nuit de sommeil, votre village est de nouveau attaqué. Après avoir une nouvelle fois démontré que rien ne vous arrête (oui rien, sauf peut être Jack Bauer), vous êtes chargé de retrouver un fragment magique et de l’emporter vers la grande cité de Padhiver (Neverwinter dans la langue de Chakespire).

Macgyver
Mais attention, notre annonyme n’est pas une grosse brutasse capable de sauter dans tous les sens, d’esquiver les balles etc…Non, on est ici dans un univers d’heroic fantasy et plus précisément, dans l’univers des Royaumes Oubliés et le jeu respecte les règles 3.5 de Donjons et Dragons. Donc cela veut dire que notre personnage possède un feuille de personnage comprenant des attributs très distincts (force,dexterité,charisme…), des compétences (crochetage, discretion, parade…) et une classe de personnage, son métier en gros. Bonus: dans Neverwinter Nights 2, vous avez le droit de choisir un background (une petite histoire) qui vous donnera quelques bonus mais aussi des malus (parce qu’il ne faut pas abuser des bonnes choses).
Dans Neverwinter Nights 2, nous avons une douzaine de classes de base (guerrier, prêtre, rôdeur, mage…). Chaque classe possède ses avantages et ses inconvénients, mais globalement, chacun y trouvera son compte.

“Zyva, t’es relou toi !”
Le système de jeu est plutôt bien conçu, du moins, le didacticiel. Les combats au corps à corps sont aisés à prendre en main mais pour tout ce qui est gestion de l’inventaire, de la feuille de personnage, ce n’est pas du tout ça.
En effet, même en étant un joueur du premier volet, j’ai eu du mal à me faire à cette nouvelle interface plutôt moche et peu intuitive. De même, les angles de caméras ne sont pas très satisfaisants, on est un peu obligé de changer de vue en fonction de l’action à l’écran. Trop d’informations sont sous formes d’icones peu lisibles et lancer un sort relève souvent du miracle. Oui parce qu’il faut ouvrir le menu de sorts rapide (oui d’habitude je suis fan des versions longues mais là…), qui selon votre configuration est plus ou moins rapide à s’afficher, viser la cible, et cliquer. Ca parait rapide comme cela, mais c’est lourd. Très. Comme si vous vouliez faire une course contre une Porsche avec une 2 CV…vous voyez ?

“C’est vous qui voyez…”
Bien entendu, il n’est pas question que Bruce Willis sauve le monde tout seul. Bon d’habitude si mais là non, il est vieux maintenant. Vous trouverez sur votre périple des alliés précieux comme ce nain bagarreur qui veut devenir moine ou cette voleuse demi-démone (tieffling dans le jargon de D&D) qui refuse d’être considérée comme une demoiselle en détresse…mais que l’on sauve quand même parce qu’on est Bruce Willis quand même !
Deux modes de jeu s’offrent à vous: soit vous décidez de donner des ordres à ce petit monde (mode marionnette), soit vous préférez qu’ils se débrouillent tout seul (mode autonome). De mon point de vue, il est préférable de tout diriger, pour éviter les morts stupides du genre “Non, ne vas pas par là, le gros dragon va te…ah, trop tard…”, ce qui arrive, hélas assez fréquemment en mode autonome.

“Tout ça pour la modique somme de 595 francs !”
Alors vous me demandez, sur quel configuration ça tourne… Que ce soit clair, il vaut mieux avoir une configuration moyenne du genre 2.4 GHZ, 1 Go de ram et une carte graphique du style ATI Radeon X1900GT ou nVidia 7600 GT. Bien entendu, je ne possède pas cette configuration, je tourne sur plus modeste, mais sachez que cela fonctionne sur un 2.0 GHZ, 512 Mo de ram et une ATI Radeon 9800 pro. Alors forcément, j’ai du régler les options méticuleusement pour avoir un résultat plus que correct. Mais quand on aime…

“Alors, c’est grave docteur ?”
Je m’attendais à un très bon jeu, je ne suis pas déçu. Cependant, le manque de finalisation se fait sentir, notemment au niveau de la localisation en français, inachevée. Cela choque toujours d’entendre de l’anglais par-ci par là, ou encore des bribes de texte encore en anglais.
Mais Obsidian réussit un coup de maître en réalisant ce deuxième volet, qui surpasse de loin le précédent et sa campagne solo tristounette.
Cependant, à cause d’un bug (de mon PC j’espère !), je n’ai pas pu apprécier le multijoueur.
On verra pour une prochaine fois.
En attendant, Neverwinter Nights 2 est un jeu parfait pour les longues nuits d’Hiver…

Note: 4/6

Ca te prend souvent de mettre des notes sur 6 ? :ane:

Allez tiens, jvait mettre une note sur 1 :ane: :ane: :ane:

Bah pourquoi pas ?