Topic Metal

Cristina Scabbia

Chanteuse de Lacuna Coil. :sol:

C’est Cristina Scabbia, la chanteuse de Lacuna Coil :wink:

Grillaid by Plost :cry:

6 secondes plus vite, çà s’est pas joué à grand chose. :nico:

:bounce: :bounce: :bounce:

y a qqn qui a des photos d’elle moins habillé ? :smiley:

Ahhh ces italienes !

Sinon non, mais vais tenter de trouver…

A force on va t’appeler Prost :ane:

:ane: :paf:

Pour info mon pseudo, c’est la contraction de Paradise Lost. PLost :o :sol:

Death on the road commandé, en espérant que ce soit le dernier live qu’ils vont sortir. [:matleflou]

Ca m’étonnerait… Tu me diras s’il est bien ! Vais ptet le prendre, histoire d’avoir les quelques derniers hits en live…

Jolie pochette ce DOTR :smiley:

par contre, pas sur que je vais le prendre, etant donné que je suis pas très amateur des morceaux du dernier albums, vais ptet rester sur le Rock In Rio.

Par contre, il y a des chances que je m’achete le dernier DVD de My Dying Bride :miam:

Ayé, j’ai "Ghost reveries" :icon_biggrin:

Bon, c’est vrai qu’il est plus violent. Plus froid aussi. Y’a moins de moments planants. Mais, bon, je vais attendre de le digérer avant de me prononcer sur cet album. :o

Mais, les premières impressions sont plutot positives.

  • 0,5 :paf: :ane:

D’accord avec toi mais pas complétement :o

La première impression a été "bof" aussi. Mais, va comprendre, le disque ne quitte plus mon lecteur. Au fur et à mesure des écoutes je trouve qu’il se bonifie. Je lui mettrais une bonne note quand même.

Alors attention, c’est pas le meilleur album de FF, mais ils ont pris des risques en faisant un album plus mélodique et en confiant la prod à Toby Wright (Metallica, Alice in chains). Mais, je dois avouer qu’il est intéressant. Je découvre des petits trucs sympas. Y’a des bonnes idées. Par contre, je suis persuadé qu’en le sortant un peu plus tard, il aurait été meilleur.

Je trouve que c’est un album triste et glacial. Tout baigne dans une ambiance planante et violente à la fois. Bref, un album qui change un peu du FF classique, mais qui ne fait pas tâche dans le discographie du groupe.

A écouter.

OK, je vais le remetre pour voir alors :slight_smile:

J’ai trouvé cette (longue) chronique et je suis complétement d’accord avec. :miam:

[i] En avril 2004, Fear Factory était revenu après un split douloureux et avait accouché d’un album acclamé par la presse et par les fans. Avec beaucoup de gimmicks empruntés au mythique "Demanufacture", FF s’était refait une santé, même si les plus critiques regrettaient l’absence totale de prise de risques. 16 mois plus tard, la bande à Burton est de retour, et le moins que l’on puisse dire, c’est que la donne a changé en si peu de temps ! Exit les productions de mammouth et les titres bourrins sans imagination, Fear Factory a décidé d’évoluer. La dernière fois qu’ils avaient essayé, on se souvient que ça s’était plutôt mal terminé (cf. l’épisode "Digimortal"), donc voyons voir si les dieux du métal ont été avec eux ce coup-ci…

Première mise au point avant d’entrer dans le vif du sujet : cet album n’a absolument RIEN à voir avec "Digimortal", et ceux qui oseront comparer les deux méritent qu’on leur coupe les oreilles. Fear Factory a en effet adouci son style, comme en 2001, mais cela s’est fait cette fois-ci de manière bien plus réfléchie. En gros, il y a 4 ans, FF bourrinait et faisait de la soupe sur les refrains, alors qu’aujourd’hui, les compos lourdes sont vraiment lourdes et les compos calmes sont vraiment calmes.

11 morceaux composent "Transgression", pour un total de 53 minutes. Autant être honnête avec vous, je le sentais mal ce disque : le délai de production me semblait trop court, et surtout, les quelques extraits entendus sur le net depuis quelques mois m’avaient tout sauf emballé. Les premières écoutes furent ainsi laborieuses, et je dois dire que j’étais assez déstabilisé par cette approche plus mélodique de leur musique.

En ce qui concerne le chant, Burton hurle moins souvent que par le passé, et son timbre mélodique est largement plus mis en avant que sur le dernier album. Ce chanteur nous a toujours habitués à l’alternance chant clair/chant hurlé, mais disons que sur "Transgression", l’influence de son projet solo easy listening se fait plus ressentir que jamais. J’en vois certains se rebiffer contre ce trop plein de mièvrerie, mais plusieurs refrains sont tout de même particulièrement réussis (je pense notamment à celui de "Contagion", planant à souhait). Le groupe continue néanmoins à envoyer la sauce quand il le faut, et il faut reconnaître que "Spinal Compression", "Transgression" ou "Moment of Impact" ne déstabiliseront pas grand monde tant elles sonnent comme du Fear Factory old school. Christian n’a peut-être pas le talent de Dino, mais il assure tout de même suffisamment pour qu’on oublie le gros chevelu pornophile qui le précédait.

Finalement, la révolution entreprise sur ce disque se situe dans son deuxième tiers : "Empty Vision", "Echoes of My Scream", "Supernova" et "New Promise" définissent le nouveau Fear Factory, plus ambitieux et plus mélodique que jamais. La mélodie, ce mot qui fait peur aux métalleux, est ici gage de qualité, un peu comme on avait pu l’entrevoir sur la fin de l’excellent "Obsolete". "Echoes of my Scream", avec ses 7 minutes au compteur, vous emmène ainsi dans les nuages avec sa guitare discrète, ses nappes de clavier et surtout sa batterie étonnamment sobre pour du Ray Herrera. "New Promise" joue quant à elle plus sur les contrastes avec son intro incroyablement douce et sa son galop de guitare, mais de ce titre, on retiendra surtout qu’il contient le premier solo de l’histoire du groupe !

"Supernova", avec ses accents rock à la U2 et ses roulements de batterie militaires, sent un peu trop le formatage radio, mais on n’atteint pas encore les affres de la médiocrité comme en 2001. De U2, il est justement question avec le neuvième morceau, qui n’est rien d’autre qu’une reprise fade et sans saveur du classique "I Will Follow". Burton C. Bell est fan du groupe, on le sait déjà depuis longtemps, mais force est de reconnaître que ce morceau n’apporte rien, et qu’il casse complètement le rythme de l’album. Autre reprise, autre résultat : avec le morceau "Millenium" emprunté à Killing Joke, Fear Factory refait du lourd, avec même quelques accents de Nailbomb dans les premières secondes. Son refrain mêlant lourdeur et mélodie enchanteresse résume à lui seul l’intégralité de cet album. "Transgression" se clôt par un titre plus habituel pour du Fear Factory : "Moment of Impact" rappelle ainsi l’excellente B-side "Messiah" avec sa rythmique martiale et ses déferlements de double pédale. Rien d’extraordinaire (un peu comme tout l’album d’ailleurs) mais ça reste sacrément agréable à écouter.

Toby Wright, connu pour son travail avec Alice In Chains, s’est occupé de la production, ce qui a pour conséquence directe d’adoucir nettement le son du groupe. Exit les murs de guitare et la prédominance de la double pédale, le son est désormais plus rock et plus chaud (la caisse claire ne possède plus ce côté industriel si caractéristique du jeu de Raymond). Ce producteur a certes plus de renommée que Colin Richardson, mais était-il le producteur le plus adéquat pour la musique de Fear Factory ? J’en doute fortement…

Voilà, comme dirait Jean-Louis Aubert, c’est fini. On a écouté l’album plusieurs fois, et si l’on n’est pas vraiment enchanté par ce tout qu’on a entendu, on n’est pas non plus déçu. Avec "Transgression", FF a su satisfaire ses fans au début et à la fin de l’album, et on sent que le groupe s’est fait plaisir au milieu, avec des compositions plus calmes qui leur correspondent peut-être plus à leur âge avancé. Plus honnête et plus ambitieux qu’"Archetype", ce disque pêche toutefois par sa production inadaptée ainsi que par la présence de cette satanée reprise d’U2 qui rompt la continuité des chansons… Les bons morceaux n’atteignent jamais non plus le génie, ce qui nous laisse un petit arrière gout d’inachevé, comme si ce disque avait été composé un peu trop vite. Bref, Fear Factory nous délivre un album plus que correct, certainement nécessaire pour la suite de leur carrière, mais qui en aucun cas n’arrive à la cheville de "Demanufacture" ou "Obsolete".
[/i]

Elle provient de quel site ? C’aurait été bien d’avoir la référence :stuck_out_tongue:

:ane:

http://www.visual-music.org/chronique-537.htm

Sinon, y’a celle d’Obskure :

[i]Pour certains, Fear Factory ne dépassera jamais "Demanufacture".
Mais "dépasser" en quel termes ? En agressivité, en puissance ? A ce compte là, peut-être pas, d’accord. Pourtant, depuis le départ du guitariste Dino Cazares et le retour sur le devant de la scène du combo américain, il pointe un espoir. Quelque chose qui fait se mouvoir Fear Factory vers de nouvelles perspectives. Rangs resserrés, optique affinée autourd 'une production convaincante signée Toby Wright (Alice In Chains / Metallica).
Et force est de constater que l’état des troupes est plutôt fameux. Ce n’est d’ailleurs pas le dernier et excellent "Archetype", sorti en 2004, qui contredisait un commentaire qu’on peut avec aisance renouveler aujourd’hui. Il faut dire qu’après le très mitigé "Digimortal", Fear Factory avait un blason à redorer sérieusement, et que l’épreuve de l’épure du line-up avait de quoi angoisser les adeptes. Diantre ! S’attendait-on à voir Christian Olde Wolbers assumer depuis 2004 et de si belle manière toutes les parties de guitares pour Fear Factory ? C’est pourtant bel et bien le nouveau tour de force qu’il renouvelle sur "Transgression", un disque qui n’aurait pas pu porter meilleur titre tant son orientation générale ouvre le petit champ dégagé un temps par la formation originelle, pour conquérir désormais de nouveaux territoires.

Clairement, "Transgression" est un des disques les plus lumineux et mélodiques que Fear Factoy ait jamais engendré. "Lumineux" au sens ou les atmosphères éclairent d’une certaine plénitude un univers berçant toujours dans la noirceur et la violence, quitte à adopter une forme bien plus orchestrale ("Echo of my Scream", titre le plus osé de l’album… et le plus réussi !). Fear Factory n’en oublie pas pour autant de mettre en relief ses désirs de puissance, et Burton C. Bell fait se voisiner avec aisance voix abruptes ou plus claires, ces dernières finissant par dominer le souvenir qu’on garde de l’enregistrement au sortir de l’écoute. Clairement, Bell maîtrise son sujet mieux que jamais et parvient à créer de réelles vibrations ("Supernova" : bondissement poppy, pour efficacité totale), là où ses essais "en clair" confinaient jusqu’ici au bricolage, à l’approximation. Le chanteur en profite pour, en parallèle à son projet personnel et prometteur Ascension Of The Watchers, redonner un souffle épique à Fear Factory. Ses voix s’envolent sur une reprise acceptable de U2 ("I will follow"), retrouvent une brutale verve sur celle de Killing Joke ("Millenium"). Par l’exposé de son background musical, Fear Factory ouvre ainsi la porte au souvenir du post-punk et de la New Wave mais campe in fine sur ses positions. Onn’oublie pas qui on est, même si on sait d’où on vient : les batteries sèches de Raymond Herrera gardent un tranchant incisif, les basses de Byron Stroud (Strapping Young Lad) bondissent autant que celle de l’invité Billy Gould (Faith No More), et Fear factory dessine une musique gorgée d’un nouveau souffle : les extrêmes s’y acoquinent, dessinant un équilibre inédit qui laisse à penser que c’est dans la sortie partielle de ses propres carcans que Fear Factory trouvera l’équation idéale.[/i] Note 75 %

En moyenne l’album se prend un 15/20 partout.

Au fait les métalleux, vous écoutez autre chose que du métal ? Ca serait intéressant de savoir ce qui vous plait en dehors de ce style.

Perso, j’aime beaucoup Aston Villa. J’ai tous leurs albums, et c’est vraiment super. De très bonnes chansons, très original, et des textes intelligents et engagés. :super:

J’accroche bien à Counting Crows aussi.

Et vous ?

Renaud, Air, des Bo de films…

Perso j’aime bien les trucs tranquilles sinon style Morcheeba, Cibo Matto… :oui:

Pink martini ça passe bien lorsque raz le bol du black metal …