Même si dans certains cas je suppose que vous avez des contacts et que vous prenez la peine de contacter “l’objet” de vos articles, lorsque vous extrayez des infos depuis des sites “concurrents”, il serait intéressant et transparent pour les lecteurs de savoir d’où cela provient, et ce même si les informations ont été extraites de plusieurs sources. Par exemple, des propos n’ont pas la même valeur s’ils sont repris de LCI, de l’AFP ou de The Inquirer, donc il serait utile pour nous d’en être informés.
je suis d’accord ca montrerait qu’il y a un travail de journalisme et c’est une marque de respect envers celui qui fournit les articles si c’est récupéré !
Il faut faire effectivement attention car le contenu de LCI peut-être protégé et donc ces derniers peuvent tout simplement demander à Clubic de retirer la news car ils n’ont pas pris la peine de mentionner la source, et donc indirectement avoir eu l’accord tacite de l’auteur originel de l’article …
Pour l’info que tu cites, il y’a effectivement tout un tas de sources (voir ici : http://news.google.fr/news?hl=fr&ned=fr&ie…ncl=1103257216) qui ont une source commune (une dépêche il me semble). Rien d’extraordinaire dans ce cas que les propos sont relayés / cités de la même façon. Quand l’info est exclusive et liée directement à une source/site/journal… nous la citons directement (avec un lien quand cela est possible, dans le cas d’une source web) dans le texte (corps) de la nouvelle.
La simple information est de libre parcour. Ce n’est que si est repris la mise en page, forme, style d’un article qu’il y a respecter la regle de courte citation (si on reprend plus, on se doit de recuillir l’accord de l’auteur, mais ce n’est pas le cas qui nous interesse).
Mais il est vrai que lorsqu’un autre journaliste trouve une info exclusive il est l’usage de reprendre la source (d’autant plus que pour reprendre l’information on va etre souvent obligé de reprendre purement et simplement certains passages, et dans ce cas on retombe dans la courte citation). Et clubic le fait dans ce cas.