Avis…
Avant de commencer, je dois dire que si je fais ce post ce n’est nullement dans l’intention de provoquer une discussion malsaine. Si des invités s’ingénient à tourner ce post au ridicule ou à des propos dont je ne désire pas m’associer… je me retirerai sans autre avis. J’écris ceci à la demande de certains membres du monde PC. Mes propos sont de mon ressort et ne font pas preuve de vérité. C’est plus un acte de foi et je ne saurais vous apportez les preuves matériels pour étayer mes affirmations, puisque j’ai fait cela de mémoire selon mon expérience de vie informatique. Tout sujet que j’aborde est discutable et même sujet à contradiction… il en est de même pour chacun d’entre nous. Bonne lecture (pour les plus patients).
Le développement Mac et PC…
L’ordinateur de table ou maison est issu de l’imaginaire de 2 gars qui ont pris une vieille télé, une dactylo, des bouts de fils, du talent, de l’intelligence et en ont fait dans le fond de leur garage ce que vous utilisez aujourd’hui. Ensuite, ils ont fondés une société que l’on connaît aujourd’hui sous un nom bien connu… car le fondateur de cette société était un fan des Beatles.
Comparatif de la technologie…
Windows 95 a vu le jour et a changé le monde de l’informatique par une gestion plus graphique. C’est un long procès qui a pris fin avec Apple pour avoir subi un plagiat de son système de l’époque. Si l’utilisation de la souris est issu de votre monde, le fait que vous utilisiez une interface graphique émane du nôtre, soit Apple. USB est issu du monde PC ce qui était préférable à la connexion chaînée du SCII. La gestion mémoire en DDR Ram émane de votre monde, tandis que les connexions “Firewire” sont de l’initiative d’Apple. Le 64 bits ouvrent des horizons nouveaux et le G5 en est le précurseur. Je pourrais ajouter une liste fastidieuse de ce que fait l’un et, l’autre pas encore.
La convivialité…
La prise en main du système et la gestion du Mac est plus souple, en ce sens que pour l’ouverture des applications c’est différente. Le système Windows a plutôt cette tendance à relancer l’application à toutes les fois que l’on ouvre une fenêtre (ceci à l’insu de l’utilisateur). Si l’on ouvre 7 fenêtres, le système travaille plus à soutenir ses relancements et a tendance par finir de planter l’application. Si une application plante, elle a tendance à entraîner un crash système qui fait un effet de domino sur tout le reste. Lorsque vous lancez Windows après une installation inapropriée, les fichiers dans la sous-couche du bios ont tendance à se corrompre et empêcher un lancement normal. Pour le Mac ouvrir une fenêtre revient à dire, ouvrir une fenêtre et le système déjà lancé ne se relance pas à chaque fois (virtuellement parlant).
Sécurité et stabilité…
La sécurité n’est pas le fort de Microsoft et les failles sont nombreuses, vous en connaissez un bout là-dessus. Il y a quelques années, Cupertino (siège d’Apple) lançait MacOs 8 avec 2000 bogues à sa première mouture; dans le même temps Redmond (siège de Microsoft) sortaient en grande pompe Windows 98 avec 236,000 bogues de répertorier. Fait notable, c’est que la philosophie de l’un face à celle de l’autre se remarque souvent dans ce type d’approche, soit comment je traite le client. Lorsque la version Beta du système X d’Apple fut proposé, elle fut mise à la disposition des développeurs pendant plus d’un an pour repérer les bogues et failles de ce nouveau système. La première version Client donc payante, vit le jour après 4 révisions importantes.
Les fondations…
Le système X qui s’appuie sur un développement " BSD Free / UniX ". À l’origine le système MacOs X était issu du rachat de NexT SteP et si l’on ajoute les principes véhiculés par le monde UniX tout en respectant la philosophie de l’ancien OS… cette approche permet de bénéficier des avantages de tous ces mondes. Un UniX c’est la stabilité et l’ouverture dans le monde de la recherche. Windows n’a pas cette approche UniX au contraire de tous les autres système que l’on parle de LinuX, MacOs X, BeOs, Sun, Irix etc…
Emulation…
Il existe bien PearPC pour faire ce que nous faisons depuis plusieurs années, mais l’état actuel de cet émulateur n’en est qu’à ses tous premiers balbutiements sur PC, au point que l’on pourrait dire… beau gadget, mais lourd à se lancer, manque de performance, j’ai vu et je ne suis pas intéressé, ou pire… croire que le MacOS X, c’est juste cela. Chez nous, l’émulation de Windows peu importe la version est une raison pour avoir un accès à votre logithèque. Pour donner un exemple, le logiciel 3dStudio Max n’est pas porté sur notre plate-forme et pour les infographistes de la 3D, c’est vital d’avoir accès à ce logiciel. La compatibilité de Virtual PC qui émule Windows est remarquable; on communique avec le système X d’Apple qui travaille en tâche de fond pendant que nous extrayons des objets issus de 3dS. LinuX est pareillement émulable sur notre plate-forme avec XII, ce qui nous ouvre vers un autre monde tout aussi intéressant que le nôtre.
Virus…
Il faut bien en parler aussi… La propagation des virus sur la plate-forme PC est comparable à la p’tie vérole à une certaine époque ou au SIDA en Afrique, aujourd’hui. Cela pourrit l’existence et vous ne pouvez rien y faire. En fait, vous apprenez à vivre avec ce mal au point de ne plus le voir. Je n’affirme pas que notre monde en est exempt, je dis juste que pour les développeurs de ces trojans, vers et autres idioties, c’est pratiquement inexistant chez nous… Notre plate-forme est inintéressante pour eux pour la simple raison que l’on représente 5% du monde informatique.
L’avenir…
Présentement, Windows n’arrive pas à donner un système stable et sans faille à l’industrie, au commerce, aux gestionnaires des grands villes. C’est pourquoi LinuX gagne du terrain et gruge des parts de marché appréciable. Dans un court laps de temps, la face du monde informatique tel qu’on le connaît en sera changer. Raison… l’Open Source. LinuX en a fait son cheval de bataille et c’est ce qui effraie Billou. Tellement, qu’il a fait breveter le double clic afin de contrer les développeurs dans le monde Linuxien (c’est vraiment, tenter de baillonner l’intelligence à la base). MacOs X de son côté connaît de nombreux succès. Songeons au iPod et à ITMS ou iTunesMusic Store pour l’achat de musique en ligne (75 % du marché mondial malgré une forte concurrence en ce domaine). Le design de nos machines remportent de nombreux prix et cela démontre un sens créatif très actif chez Apple.
J’ajouterais ceci…
L’avantage de la marginalité, c’est que nous ne sommes pas chauvin… on voit le géant et on apprend son langage, on voit les autres qui sont comme nous tout en les respectant et, on se défend pour survivre en conservant notre identité. Mac est critiqué parce qu’on le considère comme sans importance ou parce qu’on le craint? Si le Mac était si insignifiant, on en parlerait pas, tout simplement.