:MDR :MDR :MDR
Stro pui100 leu SMS an fète !
Chérie, tu est accrochée à mes BZValoche,
Heureusement j’aime toucher tes loches
Chérie, tu t’es agiché de ZanTTka,
Dégage j’aime pas ton karma,
Tout ça parcequ’il a cinq mains,
C’est mieux pour te tripoter les seins.
:sweet:
Chérie j’vais te carrer une poutre
comme on empaille une loutre
:paf:
Mais arrêtez euh… ![]()
Ce message n’était pas conforme aux règles d’utilisation du nouveau forum :
:MDR
ma chérie ta glotte me botte
tes nichons sont pas bien rond
mange donc du reblochon :o
:whistle:
c’était à cyberjo de la faire celle avec le reblochon ![]()
J’te glouglouterais l’dindon
comme de la soupe aux potirons ! :ane:
Chérie, arrêtte de boire de l’Ajax,
Ca le fera pas revenir M@j@x.
Il t’a simplement fait un bon tour,
celui qu’il fait tout les jours,
Dedans il te sautait,
puis tu disparaissait.
Allez, va plutôt voir qhyron,
et sa ptit b*te de chaton,
A moins que t’en ai rien à foutre,
dans s’cas va voir la loutre,
au moins, avec theexcalibur,
on sait qu’elle est bien dure!
Quel Pouët ! Cay bô la pouësie ! :love:
On dirait du Bernard Menez ! :ane:
En ce moment c’est de la "poulet-zi" :pt1cable:
allez, je vais ouvrir un skyblog moi… qui me suit dans mon "aventure"?
Encore un poême moderne made in blog et sa traduction !
Spéciale dédikasse à la meuf d’à côté
(Traduction : ôde à ma voisine)
J’te kiff sa race --------------------> Vous êtes si désirable
Mé t 1 sacRé ko***----------------> Pourtant à mon endroit fort peu sociable
J’vé te pécho------------------------> Un jour vous serez mienne
Tu va pa y échapé------------------> Dieu que d’amour et de désir
sava etre cho------------------------> Quoiqu’il advienne
dan la caj d’escalier-----------------> je saurais vous séduire
:ane:
:paf: pasmal :nexath
En cas d’urgence absolue http://kay.smiley.free.fr/images/2126.gif
Les sanglots longs des violons de l’automne, blessent mon coeur d’une langueur monotone
[ ici Londres ]
Mes petites amoureuses
Un hydrolat lacrymal lave
Les cieux vert-chou
Sous l’arbre tendronnier qui bave,
Vos caoutchoucs
Blancs de lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères,
Mes laiderons !
Nous nous aimions à cette époque,
Bleu laideron !
On mangeait des oeufs à la coque
Et du mouron !
Un soir, tu me sacras poète,
Blond laideron :
Descends ici, que je te fouette
En mon giron ;
J’ai dégueulé ta bandoline,
Noir laideron ;
Tu couperais ma mandoline
Au fil du front.
Pouah ! mes salives desséchées,
Roux laideron,
Infectent encor les tranchées
De ton sein rond !
Ô mes petites amoureuses,
Que je vous hais !
Plaquez de fouffes douloureuses
Vos tétons laids !
Piétinez mes vieilles terrines
De sentiment ;
- Hop donc ! soyez-moi ballerines
Pour un moment !…
Vos omoplates se déboîtent,
Ô mes amours !
Une étoile à vos reins qui boitent
Tournez vos tours !
Et c’est pourtant pour ces éclanches
Que j’ai rimé !
Je voudrais vous casser les hanches
D’avoir aimé !
Fade amas d’étoiles ratées,
Comblez les coins !
- Vous crèverez en Dieu, bâtées
D’ignobles soins !
Sous les lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères,
Mes laiderons !
Arthur RIMBAUD