Le scandale OEM

A la fin de cet été, j’ai monté un PC pour un ami. Une carte mère ASUS ( N’force 4 ), un procss AMD 3800+, un disque dur MAXTOR et une carte graphique basique.J’ai acheté pour cet ami une version OEM de VISTA version familiale premium. Je monte le PC, tous va bien durant 3 mois. Un soir, le Chipset NFORCE4 de la carte mère pose un conflit avec le disque dur MAXTOR. Impossible de charger l’OS…
A partir de là, plusieurs heures avec mon ami au TLFn’y suffisent pas, impossible de lancer le système d’exploitation. ( tous les contrôles possibles et imaginables sous BIOS, des test en ligne de commande…Rien ). Plus tard, j’apprend que la NFORCE4 a un sévère conflit hardware avec les 1ers disques dur SATA MAXTOR. Trop tard!!! En URGENT, j’envoie un DD Samsung à mon ami, il le monte…Et VISTA OEM refuse de s’installer.
Je contacte Microsoft, j’explique à plusieurs personnes mon problème, la panne d’un disque dur.Je demande juste un nouveau code d’activation de la licence, qui a fonctionnées 3 mois,pour réinstaller l’OS ( poste unique ). Au téléphone, j’ai plusieurs personnes qui m’afirment que cette manip n’est plus possible. Pire, On essaie de se débarasser de moi et on m’envoi sur un numéro qui correspond à un service technique payant, une société qui propose moyennant finance…De contacter mon ami pour essayer de régler son problème, sans guarantie de résultat of course…Re contact microst, on me refuse l’activation licence. Je propose mes coordonnées, mon identité…Rien !!! je vais sur le site microsoft, ou je constate stupéfait qu’il est stipulé que seul le changement de la carte mère ( + le procss j’imagine ) donne lieu à un blocage d’une réactivation OEM…
JE SUIS EXéDé !!!Quelqu’un comprend il quelque chose à cette arnaque ???

Merci par avance

LICENSE OEM seulement pour un pc… le changement de composant est exclu, je sais c’est lamentable !

d’autant que je ne suis pas responsable de cette imcompatibilité hardware ( entre ASUS et MAXTOR ) qui semble t’il est bien répertoriée par Microsoft. C’est pour celà que je parle ici d’arnaque.