Le risque de malformation etc… de l’enfant ( pour les femmes )
L’aspect économique/éducatif…etc ( le risque de disparaitre prématuremment avant qu’il ne soit autonome )
L’aspect relationnel/éthique ( est-il raisonnable d’avoir une 40éne d’années d’écart avec sa progéniture ?.. n’est ce pas une forme d’égoisme de faire un enfant a cet age ? ).
Je ne parle evidemment que des enfants souhaités, si ça arrive par "accident" (comme moi que mon pére a fait a 40 et qq années ) le probléme ne se pose pas.
Sinon, un dernier aspect ( quelque peu “darwinien”, celui la )
Pour le patrimoine génétique de l’humanité ( l’adn humain au sens général ), il est trés bon de faire des enfants plus tard. Ca augmente l’espérance de vie humaine.
( Je développe si ça interresse quelqu’un :paf: )
L’espérance de vie humaine :o
Tu couvres un espace-temps plus grand tout simplement :neutre: Par contre, tu peux perdre le bénéfice qu’auront les enfants de voir leur grands-parents :neutre:
ah ouais c’est con alors, perso j’ai adoré joué au echec avec mon arriere-grand-père :oui:
surtout qu’il est né en 1899 et qu’il a vu evoluer le siecle, c’etait genial de l’entendre me raconter sa premiere ampoule electrique/voiture/radio/télé
Je me vois pas trop avoir des gosses apres 40-45 ans… Apres les copains des momes te voient comme le grand pere, ca fait un choc…
Mais vu le temps qu’on met maintenant a avoir une situation a peu pres stable, la fenetre se reduit, en gros entre 25-40, c short (et faut avoir la bonne mere avec…)
Enfin bon, j’ai que 24, et ca commence deja a me trotter dans la tete, j’espere que ca va se realiser dans les 4-5 ans qui viennent…
C’est en rapport avec certaines maladies génétiques héréditaires graves.
Si tu fais un enfant trés tot, au moment ou tu as les 1er symptomes d’une maladie génétique, ou pire a ta mort prématurée, il est trop tard tu as déja transmis ton patrimoine génétique pour la ou les futures générations.
Plus on fait les enfants tard, plus on a de “chances” de développer la maladie ( ou de mourir ) avant d’avoir une descendance. La séquence génétique déficiente n’est ainsi pas transmise.
A l’echelle de l’humanité, plus on fait des enfants tard, moins on transmet de séquences génétiques déficiantes engendrant des maladies héréditaires mortelles touchant les jeunes adultes.
On fini ainsi par éradiquer, progressivement, certaines séquences du patromoine génétique humain, augmantant ainsi l’espérance de vie ( qui n’est evidemment qu’une moyenne ).