Seriez vous prêt à quitter l’endroit ou vous habitez, travaillez, avez vos amis, pour vous retrouver dans une ville/un pays que vous ne connaissez pas dans le cadre d’un nouveau boulot.
Pour ma part, je l’ai fait plusieurs fois et des fois la décision a été prise en 2 jours.
1ere fois, début 98, je quitte ma boite de formateur pour aller à Paris pour un contrat.
L’année suivante, je quitte Paris pour un contrat de 6 mois en suisse ($ €) qui s’est transformé en 1an.
Ensuite, départ pour Luxembourg, j’y reste plusieurs années.
Puis en 2008 partir pour 6 mois à Bruxelles et au final, mariage, enfant, société…
Dans le même temps, j’ai connu des amis qui malgré la possibilité d’embauches, voulaient rester près de la famille, ami, région et toutes les bonnes excuses pour rester.
Aujourd’hui oui, no problem si je trouve un bon job ailleurs
mais il y a quelques années en arrière je n’étais pas prêt et ai loupé quelques bonnes places
Pour ma part je devais partir 3 mois à Madagascar et j’y suis resté 1 an et demi.
Puis contrat suisse… avant de finalement rentrer en France pour le boulot de Madame.
Maintenant qu’on a les gosses, je ne bougerai plus.
J’ai aussi fait un an aux États-Unis, mais cela ne compte pas car c’était programmé pour une formation (même si au final je n’ai fait que 3 semaines de cours…).
Edité le 15/09/2015 à 16:57
Ça ne me poserait aucun problème, bien au contraire.
Juste que pour l’instant je n’ai pas vraiment envie de quitter mon boulot mais je ne suis dans la région qu’à cause du boulot, je ne m’y sens pas spécialement attaché.
Et le boulot me permet déjà de changer d’atmosphère régulièrement (6 mois au Venezuela, quelques mois au Brésil, en Indonésie, aux US, 9 mois en Australie…)
Edité le 17/09/2015 à 01:05
Non, blague à part, oui, je bougerais éventuellement pour un boulot, MAIS il faut que les conditions suivent (salaire, poste intéressant notamment).
Clairement, ce choix (enfin, si je peux dire comme ça … ) s’est présenté à moi en 2012 :
Poste supprimé où je bossais et si je voulais conserver un emploi dans le même groupe, je devais accepter d’aller dans le Nord de la France …
Problèmes :
Etre prévenu mi Octobre pour quelque chose effectif fin Décembre ça le fait pas.
Je n’avais AUCUNE garantie sur le type de poste.
Niveau salaire, je n’allais pas toucher le moindre centime de plus. :whistle:
…
Bref, du foutage de gueule dans ce cas (ce n’est que mon avis).
D’autant que le boulot que je faisais à l’époque commençait à me gonfler sérieusement et puis … partir si loin, sans aucune garantie (seulement une promesse verbale … :sarcastic: ) de garder son poste à moyen terme, ça ne me disait guère.
Ce qui a joué également : Le sentiment de m’être fait prendre pour un lapin de 6 semaines : En janvier de la même année, c’est limite si le DRH ne m’avais pas promis une montée en “grade” avec un salaire plus élevée, des responsabilités etc …
Bref, j’ai décliné l’offre, j’ai négocié mon départ et je n’ai AUCUN regret, surtout vu ce qui s’est passé à l’été 2013 (j’ai été sérieusement malade).
Edité le 19/09/2015 à 08:57
Ca dépend du poste en fait, mais clairement être “royalement” payé 1200 € par mois pour me casser à plus de 600 bornes de chez moi pour faire un poste dont je n’aurais probablement rien eu à foutre, c’était laaaargement insuffisant.