Notre histoire se passe lors des jeux olympiques, durant l’epreuve de lutte precisement. La finale va se dérouler entre le champion russe et le champion americain.
Avant l’affrontement final, l’entraîneur du lutteur américain vient le voir et lui dit, “N’oublie surtout pas ce que nous avons appris sur ce Russe. Il ne perd jamais un match à cause de sa maîtrise de la prise du ‘bretzel’. Quoi qu’il se passe, ne le laisse pas te bloquer de cette manière! Si ca arrivait, t’es fichu !”
Le lutteur acquiesce de la tète. Et le match commence: l’Américain et le Russe se font face, tourne autour l’un de l’autre en cherchant une ouverture. Et brusquement le Russe plonge en avant, attrape l’Américain, le soulève et le bloque dans la fameuse prise du bretzel!
Un soupir de déception parcours alors la foule, et l’entraîneur se prends la tète dans les mains, sachant bien que le match est perdu. Et c’est alors qu’il entend un hurlement, les acclamations de la foule, et qu’il lève les yeux juste à temps pour voir le Russe voltiger dans les airs.
Le russe retombe au tapis lourdement et l’Américain lui retombe faiblement dessus, remportant le point et par la même le match.
L’entraîneur est abasourdi! Et quand enfin il se retrouve seul avec son lutteur, il lui demande “Comment t’as fait pour te sortir du bretzel ? Personne n’avait jamais réussi!”
Et le lutteur de lui répondre, “Et bien, une fois bloque, j’étais prêt a abandonner quand, au dernier moment, j’ai ouvert les yeux et vu cette paire de couilles juste devant moi. Je n’avais rien à perdre, alors avec mes dernières forces, j’ai avancé le cou et je les ai mordu aussi fort que possible.”
L’entraîneur s’exclame, “Et ca a été le coup de grâce ?”
“Non, mais tu serais étonné de la force que l’on décuple quand on mords ses propres couilles!”
Un facteur livre un pli recommandé dans une ferme.
Il veut le remettre en main propre au fermier. Il demande à sa femme où il peut trouver son mari.
“il est dans le porcherie. Vous pouvez pas vous tromper, c’est le seul qui porte un beret”
Robert, qui en est à sa 20e bière, et Bernard, qui attaque son 12e triple whisky, discutent:
“Tu sais pas quoi? Je viens de m’acheter la dernière Seat toute électrique.”
“Ah, c’est économique, ça pollue pas, c’est bien, ça.”
"Nan Nan, je m’en fous, ça. Je l’ai achetée parce que ça fait pas de bruit. Comme ça, je peux rentrer sans me faire remarquer à 4 heures du mat’.
Pis, j’ai acheté un portail électrique télécommandé et ça fait pas de bruit.
Pis, j’ai acheté aussi un revêtement spécial pour mon goudron, quand je roule dessus, ça fait pas un bruit dis donc, dans la maison t’entends rien, mais alors rien du tout.
Pis, j’ai molletonné la niche de mon chien aussi, comme ça il m’entend pas, il aboie pas et, même s’il aboie, ça s’entend pas dans la maison.
Pis, j’ai monté ma porte de garage sur vérin hydraulique et j’ai mis dans mon garage le même revêtement que dans mon parking.
Pis, j’ai remplacé mes escaliers en bois par des escaliers en pierre avec de la moquette dessus, quand tu marches là-dessus, ça fait pas un bruit, t’entends rien.
Pis, j’ai viré les portes aussi, pour pas avoir à les ouvrir.
Pis, j’ai acheté aussi le dernier matelas Epeda Multi Spire que quand tu t’assois dessus, déjà ça fait pas un bruit et la personne qu’est allongée à côté, elle sent rien que dalle.
Eh ben, malgré tout ça, quand je rentre à 4 heures du mat, ça réveille ma femme et j’ai droit à la même scène: “T’étais où, t’as encore pris une murge avec tes débiles de copains et gnagnagna,gnagnagna!!!”"
"Ah ben mon pauff’ vieux, moi si tu savais… Quand je rentre à 4 heures du mat avec la Range Rover 3 litres diesel, je mets un petit coup sec dans mon portail en métal pour l’ouvrir, ça fait un boucan du tonnerre, le chien il braille comme c’est pas permis. Je rentre dans mon garage pareil, en mettant un petit coup sec avec la bagnole, je sors en chantant à tue-tête, je claque toutes les portes, je vais dans le frigo, je bâfre avec les assiettes qui tintent, pis je monte 4 à 4 les escaliers en bois qui grincent, je me vautre sur le matelas les bras en croix en gueulant
“PUTAIN, APRÈS UNE BONNE CUITE COMME ÇA, JE ME FERAIS BIEN SUCER, MOI!”
Ben j’te jure que ma femme, elle se réveille jamais…"