J’en garde un poil plus que la moitié (50.1%), je donne le reste à ma famille proche puis éloignée avec de savants calculs de répartition.
Je place la quasi-totalité du pognon dans des placements sérieux (je ne chercherais pas des rendements démentiels, hasardeux et dont on ne sait réellement pas comment ils sont atteints - toute référence à la crise actuelle serait purement fortuite… ).
Je vis tranquillement sans excès: la seule grosse dépense, une maison ou un appartement.
Pour ce qui est de donner à des associations, ce serait plus tard, beaucoup plus tard et ça ne se ferait que sur les intérêts pas sur la somme initiale: charité bien ordonnée commence par soi-même.
Ensuite… je pense savoir ce que je ferais, mais j’essaierais de ne pas rester oisif et de faire en sorte que ce pognon serve à quelque chose de plus ou moins concret (je ne m’étendrais pas là-dessus, j’ai mon idée).