Yuka, l’application qui scanne les produits alimentaires, va encore plus loin dans sa démarche militante. Désormais, ses utilisateurs en France et aux États-Unis peuvent directement contacter les marques si leurs articles contiennent des additifs mauvais pour la santé.
c’est la porte ouverte à tout et n’importe quoi…
Carrément d’accord, aujourd’hui c’est porte ouverte aux industriels qui mettent tout et n’importe quoi dans ce qu’on bouffe, il faut que ça s’arrête… Grâce à Yuka, il y a enfin moyen de renvoyer un peu de pression sur ces gens !
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Une super idée, YUKA est définitivement une des pépites Françaises.
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Excellente idée, vu que les industriels affirment toujours « écouter ce que souhaite les consommateurs » on va bien voir ceux qui réagissent…
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Vous travaillez peut-être chez un de ces industriels !!!
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J’ai acheter un plat préparer « Coté Table : Blanquette de veau et son riz » Nutri-score apposé sur la boite « A » (je suis un bon mouton, je fais confiance), en rentrant, par curiosité je regarde sur Yuka, note : « 49/100 Additifs à éviter ROUGE »
- Carraghénane semi-raffinée : Risque cancer du sein/microbiote fortement perturber
- Triphosphates : provoque des problèmes rénaux et des maladies cardiovasculaire
Le fric le fric le fric, bien avant la santé publique, on n’est trop sur terre, vous inquiétez pas, les industriels de l’agro-alimentaire sont sur le coup !
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Un jour il faudra arrêter la paranoïa. Ce qui m’amuse toujours, c’est que l’on, ne parle jamais de concentration. Cela me rappelle l’époque où l’on s’est mis à attaquer les colorants de synthèse et, entre autre, l’amarante. Pourtant des études faites par des scientifiques avait démontrer qu’il faudrait avaler plus de 1500 litres de sirop de grenadine pour avoir une chance d’attraper un cancer.
Et plutôt que de passer du temps sur ces applications qui finissent par rendre tout le monde paranoïaque, les gens devraient surtout apprendre à cuisiner. Rien de plus simple que de faire cuire 3 légumes et un morceau de viande.
Sinon, pour les plus fortunés, ils n’on qu’à s’acheter un spectromètre de masse. Ils pourront analyser tout ce qu’ils achètent. Mais attention, il faudra savoir faire la différence entre un picogramme et un femtogramme, ce qui n’est je pense pas le cas de tout le monde 
C’est un des défauts du nutri-score, il est basé essentiellement sur la composition nutritionnelle, comme son nom l’indique, mais ne tient compte ni de la nocivité de certains ingrédients (pas de score tenant compte de ça à ma connaissance), ni du niveau de transformation (pour ça il y a le score Nova, mais il est très rarement présent…).
Raté 
mais je connais le review bombing…
C’est toujours facile de reporter sur l’autre la responsabilité…
C’est aussi la porte ouverte à la lecture de l’étiquette avant d’acheter hein , le steak à 5% ou le steak burger aux fibres de bambou.