Microsoft a une obsession. Depuis plus d’une décennie, l’éditeur tente de propulser Windows dans un monde dominé par les puces ARM. Plus efficaces, plus silencieuses, plus mobiles, elles incarnent ce vers quoi les PC devraient tendre : autonomie de smartphone, châssis ultra fin, démarrage instantané, connexion permanente, silence de fonctionnement. Sur le papier, c’est l’avenir. Dans les faits, c’est surtout une succession de rendez-vous manqués.
Comme écrit dans l’article, concernant la mort windows phone, le coupable premier, c’était du moins la raison évoquée autour de moi par les plus jeunes, le point de blocage, c’était le non portage de certaines applications clefs. Qui rendait cette option d’achat non envisageable. Un refus de portage (je suis certain que Microsoft était prêt à aligner tous les sous nécessaires). Interdiction de produire de clients. On a tué le windows phone (et donc une option de choix pour le consommateur). Alors que des machines plutôt sexy, qui se différenciaient du tout venant, et tournaient comme des bolides sur un OS de dieu qui jamais ne plantait, jamais ne justifiait un redémarrage. Ce qui Microsoft avait fait de mieux.
Mon Nokia poursuit sa petite vie en réveil matin (quand je mets en vis à vis la programmation des alarmes sur windows phone et iOS … y’a des cours d’ergo qui se perdent).