Commentaires : Windows a 40 ans : des premiers virus de boot aux ransomwares, un OS forgé par les attaques

Pendant des années, l’histoire de la sécurité sur Windows s’est confondue avec celle des virus qui le malmenaient. Retour sur quelques épisodes marquants qui ont façonné l’OS actuel.

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C’est très étrange, sur ma version de windows il n’y a qu’un parefeu (pas de Defender ni d’Avast ni de Norton…), et je n’ai jamais rien attrapé… Merci Microsoft :heart: :window: :smiling_face_with_three_hearts: !

Je n’ai pas d’anti-virus donc je n’ai pas de virus quelle magnifique affirmation…mais alors comment pouvez-vous savoir ?

?

Sinon voici ma version de Windows en question hahaha

L’année suivante, ILOVEYOU pousse la logique encore plus loin avec un fichier joint présenté comme une lettre d’amour qui, une fois ouvert, écrase des fichiers, se copie partout et poursuit sa propagation via la messagerie.

A cette époque, j’entretenais un serveur Web à domicile via l’ADSL et une redirection d’un nom de domaine gratuit vers mon adresse IP. Le week-end, j’avais dans les 1500 connexions IP uniques par jour (le succès des pubs) et mon antivirus me prévenait toutes les 5 minutes d’une détection d’« I Love You » (de Onel de Guzman, un tout jeune Phillipin), j’étais bombardé en permanence mais je faisais même pas attention parce que le serveur sous Windows XP était basé sur Apache et non IIS de Microsoft, le rendant invulnérable du coup à ce type attaques. Il n’y avait pas Office dessus non plus. J’avais aussi 2 autres ordinateurs pour faire mes affaires tranquillement.

PS : j’avais oublié, pas si tranquille que ça parce que mon serveur mail avait été piraté via la technique des relais alors je l’avais arrêté. Mais rien à voir avec « I love You ».

Il y a eu aussi le très fameux BO2K (Back Orifice 2000) mais ce Trojan, cheval de Troie de prise de contrôle à distance n’était vraiment pas très discrêt mais gare quand même aux imprudents. On pouvait y glisser des plugins dont un qui à son lancement en tant que service Windows envoyait un email à l’attaquant en sommeil en train d’attendre pour lui donner l’adresse IP publique de la victime au fil de ses reconnexions à internet.

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