Le monopole du Microsoft Store pour la maintenance des applications touche à sa fin. Avec une nouvelle intégration dans les Paramètres de Windows 11, Microsoft offre enfin une alternative aux utilisateurs qui préfèrent éviter sa boutique officielle pour garder leurs logiciels à jour.
Il était temps ! À chaque fois, il faut faire deux recherches, pour les mises à jour. J’ai rien contre le store, mais plutôt que des outils « store », je préfère des outils windows.
Le store Microsoft est un bide, comme tant de choses avant chez eux (MSN par exemple).
Heureusement pour les actionnaires, il y a le racket de WIndows pré-installé sur les PC, la rente Office 365 et les licences astronomiques pour SQL Server.
La licence SQL Server n’est pas si chère je trouve, sauf si on passe en CAL. En fait, une fois le coût initial passé, le maintien de licence SQL est moins cher que des contrats de maintenance MySQL (postgre, je ne sais même pas où en trouver), et nettement moins cher que Oracle ou IBM. Par contre Office 365 et toute la galaxie autour, c’est du racket, surtout vu les bugs sans fin et quotidiens que ça amène.
Postgreysql, il n’y a pas à chercher de licence: c’est opensource et gratuit ! Même de grands banques françaises y passent.
Il parle de contrat de maintenance, pas de licence. Une base de données dans les secteurs d’activité ciblés par SQL Server, c’est pas juste installer un SGBD open-source et croiser les doigts pour que la prod tourne sans souci…
Comme tout produit libre, il est possible de souscrire à un support, et c’est d’ailleurs grace à cela que les entreprises peuvent payer à temps plein des développeurs pour des projets libres.
On peut rajouter surtout les lobby exercés sur l’Europe, et notamment les éducations nationnals pour habitué très jeune et avoir peu de libre arbitre en sortie d’école.
Pas trop besoin de lobbying: si on a déjà du Ms, les prix de maintien de Ms sont inférieurs ux prix de support de Linux (pour un seul linux-dinc il faut tout installer avec la même distro)
Donc si on ajoute le prix de formation, le coût d’installation, le coût humain, car les ‹ experts › linux se font payer plus cher que l’expert’ Ms…
On n’est pas près de voir de grosses bascules Linux.
Ajoutons que si on essaie de faire ‹ in House › en embauchant, pour les acteurs public ça fait augmenter la masse salariale /budget de fonctionnement qui doit être en baisse sous peine d’être mis sous tutelle de l’autorité supérieure.