Commentaires : Vous voulez commander un Uber pour un proche ? C'est désormais possible, et voici comment faire

Uber lance une nouvelle fonctionnalité aussi pratique que réclamée par ses utilisateurs : « Guest Rider », qui permet à la fois de commander et de payer pour quelqu’un d’autre.

eh bien mieux vaut tard que jamais ca fait dix ans que tout le monde galere pour offrir des uber a ceux qui ont plus de bateries ou autre…
Comme des debile on se retrouvait a attendre que l’autre arrive avant de comander son propre uber…

Malheureusement les transports coutent très cher de manière générale. Sauf erreur de ma part, c’est bien moins cher qu’un taxi.
Après pour ma part, ayant des vélib pas loin de chez moi, je n’ai jamais commandé d’uber mais je peux comprendre le coté pratique

Pourquoi UBER ?
UBER, quelque soit l’heure, vous pouvez avoir un taxi et rapidement (taxi classique, vous pouvez attendre 1 h). Ça reste ce qu’il y a de moins cher.

Exemple : vous êtes à l’hôpital aux urgences
Il est 23 h. On vous annonce que vous pouvez retourner chez vous :

  • ambulance ? Non, vous n’y avez pas droit, car maintenant, vous allez bien.
  • taxi conventionné ? Non, ça ne marche pas la nuit.
    Alors ce sera UBER.

@Tiller : « Sauf erreur de ma part, c’est bien moins cher qu’un taxi. »

Ça c’était il y a longtemps, pour attirer les clients et quand les chauffeurs étaient correctement rémunérés, avant d’augmenter les prix tout en réduisant la rémunération des chauffeurs à des cacahuètes. C’est la technique Uber.

En effet, vous faites erreur. Le tarif minimal passe à 9€ en 2023 pour les courses de petite distance. 7,30 € pour les taxis. Si prendre un Uber aux heures creuses est facturé au tarif de base, aux heures pleines les prix sont multipliés, par 2, par 4, voir plus… Ils appellent ça la « la tarification dynamique ». Exemple, un pote qui a payé plus de 60 euros un Uber à Paris un samedi soir, pour aller du 4e à Nation (à peine plus de 5 mn de trajet).

Uber appâte avec des tarifs plus vraiment bon marché (au détriment de ses chauffeurs pris à la gorge) pour mieux plumer ses clients aux heures où il y a le plus de demande. Et dans les grosses agglomérations où les gens bougent et sortent beaucoup, c’est très souvent et c’est annoncé au dernier moment.

L’ubérisation, c’est le mal. Ceux qui pensent se trouver toujours du bon côté du manche, comprendront quand leur métier sera ubérisé à son tour.

C’est le but d’Uber, devenir majoritaire pour écraser la concurrence, et faire payer aussi cher ou plus une fois que les Uber sont ultra majoritaires. Paris a été une proie facile car il n’y avait pas assez de taxis. L’incompétence des pouvoirs en place à facilité le développement de la pieuvre Uber.

Ce n’est pas pour rien si certaines grandes métropoles européennes ont interdit Uber. Dans certains pays, les chauffeurs Uber, après avoir été attirés par des bons salaires au début, se sont retrouvés réduits en esclavage pour payer leur crédit une fois qu’Uber à baissé leur rémunération sans leur demander leur avis. En Inde, beaucoup de chauffeurs Uber en sont réduits à pratiquement vivre dans leur voiture, même le week-end, pour parvenir à payer leur crédit automobile.

Uber est une firme malhonnête, trompeuse, toxique et esclavagiste. Elle nous vendait du rêve. Au final on a le cauchemar de l’ubérisation.

J’ai oublié de dire qu’il y avait 1 h d’attente pour un taxi classique. Quand vous avez passé la journée aux urgences alors oui UBER.

Oui, UBER est en infraction. Pour se décharger de la contrainte d’avoir des salariés, il demande au chauffeur de s’inscrire en tant que profession libérale. Puis UBER prétend qu’il demande des prestations à des sortes d’artisan. C’est du salariat déguisé.

L’état (le trésor public) ne fait pas son boulot. Normalement, il devrait envoyer de son propre chef à chaque chauffeur un questionnaire afin de vérifier s’il n’est pas un salarié déguisé. Ce n’est pas difficile. Il faut répondre à deux questions primordiales : « décidez-vous du prix de vente de la prestation ? », « décidez-vous de vos horaires ? ». « avez-vous d’autres clients qu’UBER ? »
Si c’est « non » alors, vous êtes un salarié déguisé. Nul besoin de recourir à un procès.
C’est ce qui m’est arrivé il y a bien longtemps (40 ans) lorsque voulant travailler pour une SSI, je m’étais inscrit en tant que profession libérale. Je ne suis pas resté en profession libérale, je suis devenu salarié de la SSI.
UBER n’est pas le premier à faire ça en France.