Commentaires : Vous pourrez peut-être bientôt goûter à ce beurre synthétique signé Bill Gates

J’ai des ancêtres normands et bretons, le beurre pour nous c’est… sacré ! :yum:

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@ Palou Ça a le nom qu’on veut bien lui donner, moi j’appelle ça du beurre car des produit végétaux c’est ma normalité :slight_smile: Tout est relatif !

Les mots ont un sens, si chacun se met à leur donner son propre sens, ça va être le bordel hein…

Le beurre, c’est à base de lait, par définition. On peut à la limite accepter ce nom pour des beurres allégés, mais pas pour des margarines.

Si un fabricant tentait de vendre du « beurre végétal », il se prendrait très rapidement un shoot de la DGCCRF, qui estimerait à juste titre qu’il s’agit là d’une appellation trompeuse.

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Le beurre est d’origine animale, la margarine d’origine végétale, c’est LA différence

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Ouais je sais qu’en France les lobbies de l’exploitation animale sont chiants et interdisent le beurre végétal sous couvert que c’est pas du beurre mais bon on a bien du beurre de karité , du beurre d’amande ou de cacahuete :upside_down_face: Donc cette hyprocrisie me fait toujours rire vu d’ici.

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Mon œil, si on devient végétalien, on peut se passer des sous-produits animaux comme les viandes de vaches qui par hasard deviennent côte de bœuf, soit on reste conso de barbaque. avec le sel de table et le poivre itou
rester omnivore ? Voila la question ! beurk !

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Personnellement, j’applaudis la nouvelle. Nos modes de consommation posent problème. D’un côté, les omnivores mangent de la viande avec tous les effets délétères que la production animale génèrent sur l’environnement. D’un autre, l’avènement du végétarisme/lisme ont créé un nouveau marché (soja/quinoa principalement) dont les conséquences sont tout aussi catastrophiques (développement de la culture intensive au détriment de la forêt amazonienne par exemple).

L’avenir, c’est la synthèse. Quant aux éleveurs/agriculteurs (pas taper, je descends d’une famille d’agriculteurs et d’éleveurs), tout comme ces grandes industries agro alimentaires, c’est comme le cheval et la voiture : à un moment, il faut savoir choisir le progrès. Il y a des contraintes, des conséquences, des choix difficiles mais c’est aussi une forme de libération des contraintes du passé.

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Le soja à destination de la consommation humaine ne provient pas de l’Amazonie donc ne détruit pas ces espaces, ne vient pas par cargos et ne créer pas de mono-cultures. Le blé de ton pain génère plus de mono-cultures que le soja n’en a jamais fait. La production qui détruit les espaces car les quantités sont collosales, non bio et venant de pays sous développés c’est le soja et les céréales à destination de l’exploitation animale. Alors c’est bien de faire une synthèse en mode conaisseur et en faisant croire que le problème et les tords sont partagés, mais en réalité ce n’est pas vrai du tout, ces problèmes sont tous causés par les omnivores :wink: Et tu as oublié l’aspect éthique dans ton beau résumé c’est bien la polution générée sur l’environnement mais les animaux ne sont pas des machines à destination de l’être humain ce sont des animaux au même titre que les humains. Voir par le spectre de «l’environnement» (environmement de quoi ? de l’homme ?) n’est rien d’autre qu’une vision égoïste et antropocentrique de la chose.

Ben oui, c’est égoïste et anthropocentriste. Je l’assume. Je le revendique même.
L’évolution, la disparition d’espèces ou leur sauvegarde (dont la nôtre en fait, avec le climat), c’est souvent très très hypocrite de la part des bien pensants. Si nous disparaissons à cause de nos erreurs, tant pis pour nous. Si nous évoluons dans le bon sens, tant mieux. Mais la réflexion qui concerne tout ça devrait être infiniment plus complexe que notre mode de consommation ou notre mode de vie.

A moins que tu aurais aimé vivre avec des dinosaures et ne pas être au sommet de la chaîne alimentaire ?

Bref…