WhatsApp transforme la vie de quartier. Nés pendant le Covid, les groupes de voisins persistent et deviennent de véritables forums numériques de proximité, entre entraide et débordements parfois houleux.
Je ne comprends pas le titre.
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Un groupe de voisins où la discussion est conviviale ça peut être sympa, surtout s’il est restreint à quelques personnes qui se connaissent bien. Par contre, quand il y a dedans le râleur de service, les profiteurs ou le lourdingue d’en face qui poste chaque dimanche ses blagues pourries que tout le monde connaît déjà, et bien l’ambiance peut vite se détériorer. Attaques perso, messages passifs-agressifs, condescendants… Ça peut très vite devenir ennuyeux, voire toxique pour les relations entre personnes.
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Moi j’ai coupé les notifications de mon groupe de voisins car il y avait trop de communications inutiles. Je ne peux pas passer ma vie à essayer de reconnaitre la tête du chat errant ou lire des annonces qui devraient être sur le bon coin. Je rate certainement des infos utiles . En fait , il me manque l’IA qui fera ce tri pour moi car on a pas tous les mêmes besoins.
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Cela me rappelle une période que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre.
Autrefois, dans un pays qui s’appelait l’URSS, il y avait des personnes chargées de surveiller les habitant des quartiers.
Bien sûr, on en est loin, mais…
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