Mes économies vont payer ma retraite.
Et?
Demandez à un pédo-psychiatre (je pense qu’il s’y connait plus que nous sur le developpement du cerveau des enfants), il vous dira exactement ca qu’à écrit @Muggsy68
C’est pas compliqué, juste à contre sens de ce que l’on peut penser.
A contre sens de ce que l’on peut penser ?
Penser quoi ?
Quand je vois l’addiction des écrans chez les grands qui n’ont pas été sujets aux écrans petits. On se doute bien que c’est hyper dangereux quand c’est sous le nez depuis petit.
(Encore faut-il voir l’addiction)
On peut simplement penser que les écrans peuvent éveiller les enfants en les stimulants sur des sujets divers (langage, connaissance etc.). Pensez à tous ces dessins animés « éducatifs » ou aux jeux également dits éducatifs.
C’est pas faux.
Mais bon, le support reste néanmoins un écran.
C’est un peu comme si on te dit d’aller te baigner dans de l’acide.
Ce n’est pas parce que c’est liquide, que c’est forcément propice à la baignade, éducative soit-elle.
Mais bon, en dehors de ça, on a vraiment un gros souci au niveau national.
Si pas d’écran avant 3ans, il devrait rien exister en ce sens avant cet âge là. 
Bé justement, non, ils ne disent pas tous la même chose, c’est ce que j’essayais de dire 
Après je ne dis évidemment pas que mettre des enfants devant des écrans, c’est forcément une bonne idée, mais je pense qu’on se focalise beaucoup trop là-dessus, sans voir les problèmes derrière. Dans son article " Les écrans ont-ils un effet causal sur le développement cognitif des enfants?", Ramus explique que si les études montrent bien qu’une exposition importante à des écrans a des effets néfastes légers sur le développement cognitif des enfants, la raison serait plutôt tout bêtement que c’est du temps où il n’y a pas d’interactions sociales, et que ces interactions sont super importantes pour le développement des enfants. Et que c’est pas forcément mieux de leur faire empiler des cubes, du vélo ou des réussites.
Du coup j’ai vraiment l’impression que taper sur les écrans, c’est un peu l’arbre qui cache la forêt. Ca implique que ce temps sans écrans, il faut l’occuper, que ça soit avec des parents ou d’autres gens, et que pour plein de raisons, c’est du temps que l’entourage de l’enfant n’a pas toujours. Ca oblige à repenser les modèles de parentalité, et c’est vachement plus complexe que de juste taper sur les écrans
Le raisonnement est interessant. Donc on parle plus d’interractions sociales. Il faudrait donc comparer avec des enfants uniques, sans écrans et qui jouent seuls pour déterminer si les écrans sont à incriminer. De ma génération j’en connais pas mal dans ce cas et j’ai pas souvenirs de retard d’apprentissage. Mais ce n’est que mon expérience.