Que ce serait-il passé si le COVID-19 était très hautement mortel ? Imaginez Paris en quarantaine, bloquée par l’armée et isolée du monde… C’est cette terrible épreuve qui attend Lia, Samuel et Anton dans la chronique d’aujourd’hui.
Peu crédible … un virus est soit très dangereux (léthal) et peu contagieux, soit peu dangereux et très contagieux. C’est la nature et c’est logique, s’il tue son hôte trop vite, il ne peut se répandre.
On peut parler de fiction, mais pas vraiment de science-fiction.
Soyons modestes. Tout est possible dan la nature. Ce n’est pas parcequon ne la jamais rencontré que ça ne peux pas exister. Effrayante fiction…
Ou alors, il peut survivre sur les morts pendant un temps très long, ce qui entraîne forcément des problèmes d’hygiène publique vu que personne ne va vouloir « enlever » les morts et donc les foyers d’infections ne disparaissent plus et se répandent via les rongeurs et autre nécrophages.
Le CoVid19 a un taux de mortalité d’un peu plus de 2%. Cela a suffit à mettre à genoux tous les systèmes hospitaliers du monde. Ebola, qui existe déjà, a un taux de mortalité de 50%. Il est heureusement un peu moins contagieux que le CoVid19, mais si on calcules les ratios, on voit qu’une telle maladie est une apocalypse en boite. Donc je ne présumerais pas des limites de la nature en l’état actuel de nos connaissances.