Mais je parie qu’il continueront à nous demander des tas de déclarations et justificatifs de ce qu’il savent déjà, comme c’est déjà le cas.
Bien sûr, question de savoir si le déclarant est honnête et n’oublie rien en termes de choses à déclarer fiscalement… histoire de sanctionner a posteriori.
Pour la surveillance généralisée, c’est simplement inévitable, entre les corpos (pour la pub ciblée et entrainer l’IA) et l’Etat. A moins de vivre au sein d’un tribu isolé, dans la forêt d’un pays peu développé, même là-bas, le numérique avance aussi à grand pas.
Seul le croisement des données entre les boites privées et le secteur public sont encore fortement réglementées, en Europe du moins. C’est déjà un bon bouclier.
Pas faux. Je n’en ai pas, et mes amis et proches me demandent comment je fais pour survivre .
Non, ce n’est pas que ça : c’est le croisement entre l’administration fiscale et l’administration sociale, c’est là que le secret médical me pose problème.
Il ne faudrait pas croire que la santé s’arrête à ce genre de données. L’administration fiscale n’a pas besoin de savoir qui a fait une dépression, une fausse couche, a un cancer, a une MST, a une maladie rare, consulte un psychiatre, prend un traitement contre la schizophrénie, etc. Ces personnes souffrent suffisamment comme ça sans que l’administration fiscale soit au courant de ce genre de choses.
Avec un état qui fait confiance à Microsoft, Amazon et consorts pour stocker des données personnelles, qui ne met pas en place les mesures de sécurité élémentaires pour protéger nos données, M. Poutine n’a pas besoin d’envahir la France, il lui suffit de continuer à financer ses hackers pour mettre à genoux l’économie française
Bonjour,
vous êtes sur de la vôtre?
Les chose on bien changé depuis l’abandon du projet SAFARI et la création de la CNIL en 1978.
Regarder l’article du 08/01/2025 « France Travail : le gouvernement crée un méga fichier de données sociales qui inquiète la CNIL » publier sur Next