Et dans le coût du thermique, on oublie toujours aussi tous les coûts indirects liés à la pollution locale (coûts de santé et de productivité induis par la pollution atmosphérique, mais aussi sonore, coût d’entretien des façades, des systèmes de ventilation, de l’isolation sonore…) et globale (chaque tonne de CO2 en plus rejetée dans l’atmosphère, c’est des coûts supplémentaires à moyen et long terme pour lutter contre les conséquences climatiques).
Autre avantage : son moteur à rotor bobiné lui permet d’encaisser une puissance de recharge AC de 22 kW.
Tiens, je l’avais raté la première fois celle-là qu’elle est bonne pourtant…
Le moteur n’a aucun rôle à jouer dans le processus de recharge sur borne, qu’elle soit lente ou rapide.
C’est fou de sortir des bêtises pareilles !
Bonjour,
Ben la recharge dans ces amperages supposent seulement l’énergie au freinage qui part relativement à la batterie,
Le jour où on disposera d’un ultra condensateur au graphene, de disons 10 kW vu le prix pour l’instant, près de 100% sera récupéré , et un gain de 50% comme sur la moto de test du fabriquant de fils de carbone.
350 km avec une charge, impressionnant,!
L’important n’est pas réellement l’autonomie, mais les points de recharge.
Un locataire dans un immeuble devra attendre que les parking en sous-sol soient équipés de bornes (au frais du propriétaire), et très souvent au bureau les place de parking ne sont pas équipées non plus.
Tant qu’on ne pourra pas charger sa voiture plus ou moins n’importe où quand elle est à l’arrêt l’intérêt d’un véhicule électrique pour le plus grand nombre restera limité.
Pas nécessairement, le locataire peut payer lui même. Alors certes, faut être sûr de rester un certain temps dans le logement pour avoir le temps d’amortir l’installation, mais ça peut aller assez vite, une prise à 500€, ça peut s’amortir en moins d’un an pour certains…
Et certains opérateurs de prises en copropriété proposent même le déménagement gratuit de la prise en cas de déménagement vers une autre copropriété éligible.