Commentaires : Vers des composants électroniques capables de fonctionner à des chaleurs extrêmes

Des chercheurs ont mis au point un alliage de polymères permettant à la fois de conduire l’électricité et de résister à un large éventail de températures. Il pourrait être utilisé dans le cadre de composants électroniques capables de fonctionner même dans des conditions extrêmes de froid ou de chaleur.

sur le terrain , on imagine surtout que l’essentiel du budget de recherche de ceux qui ont les capitaux se concentre davantage sur un nouveau matériau capable de perdre sa resistance thermique ou mecanique au bout de 1 à 5 ans (ajustable) , un matériau qu"on pourrait baptiser “l’obsolecium programithe”

Je me demande si ça peut être utilisé pour les processeur et si ça ouvre une nouvelle course au gigahertz pour les processeurs ?

@protopixel On le fait déjà et on continuera de le faire au nom du Capitaliste.
@Metaphore54 Il existe déjà des composants permettant une plus grande vitesse comme l’arsénure de gallium mais il faut attendre qu’une compagnie se lance pour que les autres suivent.

Ce que vous dites n’est pas du tout irréaliste. J’en veux pour preuve que… c’est déjà le cas. Et depuis longtemps.

Les fabricants de composants publient des abaques de durée de vie en fonction de la température. Et la loi d’Arrhenius fournit un modèle connu depuis belle lurette.

Une fois que vous savez ça, vous comprenez que pour empêcher un produit de tomber en panne, il faut améliorer son refroidissement. Comme par hasard, il est souvent calculé “au plus juste”. Mais le “hasard” est t’il vraiment un hasard ?

Et croyez moi, ça fonctionne. Cela fait plusieurs décennies que j’améliore les appareils électroniques ainsi et j’ai pu vraiment constater sur la durée que les pannes deviennent alors très rares.

Et si vous ne me croyez pas, demandez à n’importe quel réparateur. Il vous dira quels sont les composants électroniques qui tombent en panne. Comme par “hasard”, ce sont toujours des composants qui chauffent… et qui surchauffent.

Mais comme c’était encore trop facile de les remplacer, les constructeurs ont inventé les techniques “anti démontage”.