Les datacenters Google du Tennessee et de l’Alabama vont profiter d’immenses parcs solaires fraîchement construits par la firme de Mountain View. Objectif : se rabattre le plus possible sur les énergies renouvelables.
Donc il va raser des forets entières pour installer des panneaux solaire …
Il y a aussi possibilité d’en installer sur les routes (la voiture ou le camion passerait dessous).
En effet, c’est un peu triste… Ce n’est pas ce qu’on appelle du gagnant-gagnant pour l’écologie; certes énergie renouvelable d’un côté, mais au détriment des aires naturelles (dommage pour le paysage) !
y’a toujours une contrepartie, même si c’est pas une foret, ça peut être un champ ou des abeilles ou des oiseaux allaient se ravitailler en nourriture etc…ça modifie l’écoulement des eaux, la façon dont le sol restitue la chaleur (donc changement climatique)…bref, ça modifie complètement l’écosystème local. Y’a pas de solutions idéales.
Bien d’accord…
… il faut en plus compter le coût écologique pour la construction desdits panneaux (comme par exemple l’extraction des terres rares), le coût d’entretien ou d’acheminement de l’énergie du point de production au Datacenter.
Positive ou pas, ça reste une solution.
65000 toitures de surface ???
Soit une petite ville comme Auxerre à peu près.
pour des services H24, investir dans du solaire et de l’éolien ? et même réclamer un objectif de 100% ? où est la logique ? l’action n’a pas dévissé ? 0_°
Pour moins de CO2 google met des panneaux solaire, sauf que les arbres absorbaient le CO2 avant d’être abattu, bilan ? Google ne peut pas faire ses datacenter dans les milieux désertique ou rocailleux ?
Pas toujours, parfois il y a juste de l’herbe…
Avant de parler sans savoir si des forêts entières vont être détruites. Les USA possèdent beaucoup de vastes plaines ou il y a très peu d’arbres. Pour ma part je suis beaucoup plus inquiet par les grosses compagnies pétrolières qui détruisent des contrées entières pour extraire du gaz de schiste.
Et qui attendent patiemment la fonte des glaces pour pouvoir exploiter plus facilement les endroits encore aujourd’hui inaccessible.