Anthropic a confié la gestion d’une petite boutique à son intelligence artificielle, Claude. Loin d’être un succès, l’expérience s’est soldée par des pertes financières et une série de décisions pour le moins absurdes.
Ca aurait très bien marché s ils n avaient pas confié l’inventaire à claude, c’est à dire que claudius soit le gérant en plus d’être l’ERP.
En gardant un bon vieil ERP, on gère les stocks et les fournisseurs fixes, sans avoir le besoin d’acheter de l’uranium et un mixeur pour faire des falafels qui ne figurent pas à la carte.
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Encore une belle victoire de cet expert scientifique objectif qu’est Claude 
Bientôt sur les plaques des psy : « Spécialiste des IA présentant des troubles psy ». 
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Ça rappelle l’apparition de contradiction des lois de la robotique d’Asimov
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Pourtant Madame Claude gérait très bien son affaire, elle.
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Un métier ne s’improvise pas. Les humains suivent des formations alors les IA peuvent-elles en faire autant ? Non, parce que ce n’est pas sur internet que l’on trouve les cours et secondo, travailler ne se résume pas à faire comme si avec des réflexes ou du par coeur mais consiste à planifier ses actions cohérentes afin de les orienter vers un but, un intérêt humain, social et lucratif. Et travailler s’apprend surtout aussi avec l’expérience. Il fallait mettre cette IA a un autre poste qui demande moins d’intelligence. 
Néanmoins le fait que L’IA ait refusé l’offre car trop de marge me fait extrêment plaisir, si on pouvait l’appliquer au humains pour réduire le délire salarial de certains…