Commentaires : Une cyberattaque contre des télescopes américains perturbe plusieurs semaines d'observation du ciel

Depuis le 1er août, la National Science Foundation (NSF) américaine, qui opère plusieurs grands télescopes, a dû faire face à une cyberattaque qui a paralysé une partie de ses moyens. Les télescopes, habituellement gérés en réseau, sont à l’arrêt ou opérés manuellement par les équipes sur place.

Si tous les cons volaient, il n’y aurait pas besoin d’un télescope pour les voir tellement ils seraient nombreux :tired_face:

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Que peuvent espérer ces c… à cibler les télescopes…

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Peut être les traces de petits hommes verts :joy:

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Hackeurs chinois ou russes je présume…

N’importe, je pense que ça peut venir de n’importe qui ou de n’importe quelle équipe juste pour pouvoir affirmer qu’il l’a ou l’ont fait. Vu qu’il n’y a pas vraiment d’enjeu et que bien souvent ce sont des équipes internationales qui y bossent…Et ceux d’autant moins que les Russes et Chinois ont dû bon matériel (les Chinois possèdent même le plus grand radiotélescope du monde) une raison de plus pour que je pense que ça ne vient pas d’un autre Etat. Bref c’est plus idiot qu’autre chose. Autant lorsque c’est un grande entreprise Américaine ou un labo pharmaceutique ou une banque qui se fait hacker, on peut tout de suite y voir un intérêt certain, mais là…

Qu’en est il au niveau légal de pirater un satellite ? Après tout, ce n’est sur aucun territoire

Il s’agit de télescopes terrestres :wink:

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J’ai bien précisé satellite. Mais je conçois que ce soit un peu hors sujet par rapport à l’article.

:wink:

Le satellite a une appartenance, c’est comme pour un bateau dans les eaux internationales, c’est pas parce qu’il navigue dans des eaux qui appartiennent à tous que le bateau appartient à tout le monde

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Peut-être des étudiants d’universités américaines en master et doctorats de cybersécurité.

Ne soyons pas naïfs :slight_smile: L’action de hackers n’est jamais anodine ni gratuite. Ce n’est pas la première sur un télescope ou sur un réseau de télescopes, ni sur une agence de l’espace. Depuis ce type de réseau volontairement ouvert, il y a toujours à minima le risque d’une possibilité de « rebonds » au travers des comptes d’organisations moins ouvertes et elles aussi cibles et victimes d’attaques (NASA, ESA…) où vers des fournisseurs techniques…