Commentaires : Une bibliothèque publique coupe l'accès à son Wi-Fi la nuit, suscitant l'indignation des activistes et la détresse des sans-abris

Tu perds ton temps tes détracteurs comprendront pas. Par contre si un groupe de tarés fout le bordel devant chez eux toutes les nuits, là comme par hasard, ils écrieront au maire de leur commune et composeront le 17 sur leur téléphone sans tarder…

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Ne soyons pas hypocrites non plus : la majeure partie d’entre nous préfèrent lorsque les SDF et les drogués ne se trouvent pas en bas ou devant notre logement, c’est humain. Et lorsqu’on est propriétaire c’est la même, fois dix.

Ce n’est pas qu’une question d’image du quartier, c’est aussi une question de sécurité. Un drogué en manque, ou en plein trip, n’est pas exactement un enfant de cœur, pas plus que ne le sont les revendeurs en lutte pour un territoire. Lorsqu’on a une famille et en particulier des enfants, notre priorité vas à leur sécurité. Ça aussi c’est humain et cela n’est pas incompatible avec le fait d’avoir de la compassion pour ces personnes.

Pour l’argument de la mission de la bibliothèque de fournir l’accès à l’information, à la culture et à la formation, c’est assez piteux. La bibliothèque le fait en journée, elle rempli donc bel et bien sa mission.

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Et toi, quelles solutions as tu pour traiter les problème des riverains qui subissent des nuisances sonores et de l’insécurité ?

Le problème est à traiter à la racine, mais je ne suis pas sûr que ce soit aux riverains d’assumer les conséquences du manque de prise en charge

J’ai rien contre une salle de shoot ou autre, mais j’en veux pas à côté de chez moi. Si c’était bien encadré avec une vraie sécurité autour, c’est à dire une présence policière h24 et en nombre suffisant, pour empêcher le bruit et garantir la sécurité, aucun problème. Mais ce n’est pas le cas, donc en général, on regroupe, volontairement ou pas, les démunis, mais surtout leurs problèmes, au même endroit, et les voisins doivent faire avec et rester cloitrés chez eux.

Dans ce cas précis, la bibliothèque a des heures d’ouverture, les services sont disponibles pensant ces heures d’ouverture, je ne vois pas le souci à ce qu’ils ne soit pas disponibles la nuit. D’autant que si c’est dispo la nuit, on va avoir d’autres activistes qui vont tagger l’endroit pour qu’ils coupent la consommation électrique la nuit. On s’en sort plus

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Un activiste un petit peu malin et bien équipé vu qu’il se connecte sur des réseaux Wifi, devrait pouvoir brute forcer avec un outil comme Hashcat des clés WPA2 pourraves pour avoir accès à l’internet…

Essaye d’acheter de la drogue avec une CB et un forfait 4G sans pièces d’identité et en règlement en espèce :stuck_out_tongue_winking_eye:

A lire certains commentaires (surtout d’une personne que je pensais avoir ignoré, mais je crois que je vais le faire de ce pas) je manque d’empathie à ne pas être contre le fait qu’une bibliothèque ferme son wifi la nuit (si on arrête la phrase ici c’est déjà marrant) afin que des zombies shootés aux cracks puissent se camer plus facilement.
Je ne vais donc faire aucun débat puisqu’il n’y en a manifestement pas, à la lecture de la phrase précédente.

Il aura son accès et après ?

Décidément, de plus en plus d’articles sociologiques sur clubic ça n’arrête plus. Ce n’est pas pour ça que je suit ce site depuis des années. Arrêtez de vous prendre pour Libé ou vous allez perdre une bonne part de votre lectorat.

Je ne parlais évidemment pas des riverains mais plutôt des autorités: ville, état et fédéral (je ne sais pas qui gère ça aux USA).

Le service n’est simplement plus disponible la nuit. En quoi cela peut-il constituer une perte?

Personnellement, je l’ai déjà proposé. Mais la personne, après avoir chanté mes louanges, a préféré rester dehors.

Aux USA, les juges sont répressifs. Les nôtres sont guidés par les recherches les plus récentes et fines en matière de criminologie. Pour ceux qui trouvent que choisir la drogue au lieu de la 4G, ils devraient essayer le crack ou l’héroïne. En deux ans et bien malgré eux, ils ne seront plus que des épaves.