Commentaires : Une association dépose pas moins de 422 plaintes pour violation du RGPD par des entreprises européennes

Les militants de l’organisation noyb pestent contre l’adoption massive des fameuses bannières de cookies, ou cookies alternative walls
. Selon eux, de nombreux sites ne respectent pas les exigences du RGPD en la matière.

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C’est l’image de nos sociétés, uniquement centré sur la rapacité et l’amour de l’argent.

Ce ne sont pas des associations à but non lucratif, ils ne sont pas juste là pour tes beaux yeux et si tu ne veux pas les utiliser, libre à toi, rien ne t’y force.
Quand tu vas au boulot, tu t’attends à un salaire ou tu vis d’amour et d’eau fraiche ? Pour eux, c’est pareil, ils fournissent un service et s’attendent à être payé pour ça. S’ils ne peuvent plus le faire grâce à la pub, ils passent par un autre modèle…

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C’est clair il faut agir contre la suppression payante des cookies.

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Bonjour,

Lorsqu’un client acheté un produit sur Amazon, il ne me semble pas au vue de la législation normal que le site récupère mes donnés et me trace. Par contre pour les réseaux sociaux gratuits, ces cookie sont une source de revenu. N’étant pas utilisateur de réseaux sociaux mon opinion n’est pas des plus neutres mais je ne serais pas étonné d’avoir un service paya y sans traçage et un autre gratuit avec traçage. Bien entendu, dans le premier cas, je ne doute pas que le client soit tout de même tracé.
Il y a quelques dizaines d’années, certains opérateur mobile proposaient des minutes de communications à condition d’écouter des publicités. Même modèle en 2021.

Il est où le menu « Refuser » sur le 1er site français de jeux vidéo ?

Et pourtant c’est bien le cas …
Tu regardes un article sur Amazon, puis tu retrouves trace de ton passage dans les news de Bing ou au travers des pages FB

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Les clients semblent pourtant tout à fait prêt à le faire « dans la vraie vie » via des cartes de fidélités qui te font gagner quelques centimes par courses… c’est pourtant exactement le même principe : ces cartes mémorisent tous tes achats, ce qui permet l’envoi de pubs ciblées.

Dans ce cas, on parle bien des « cookies alternative walls », donc pour les sites « gratuits » et pas les sites marchands.

Je dis jamais non à un cookie … J’ai une pâtisserie pas loin de chez moi qui en fait, c’est une tuerie planétaire. :slight_smile:

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Il est en micro-transaction pour le coup, c’est bien adapté à leur média.

J’avais particulièrement apprécié la méthode utilisée par Proximus (premier opérateur téléphonie/internet en Belgique). Quand on refusait les cookies, ils t’affichaient un cercle d’avancement « application de vos paramètres » qui mettait trente seconde à se remplir. Évidemment, comme pas de cookies, rebelote à chaque visite du site si on continuait à refuser. Curieusement, la création de cookies était elle instantanée.
J’avais effectivement pensé à déposer une plainte contre cette pratique, mais ils ont arrêté depuis.

Le problème de fond est que cette barre de consentement aux cookies n’aurait jamais dû incomber aux sites individuellement, mais aux navigateurs.

Le coût de ce système est faramineux mit bout-à-bout et l’expérience utilisateur est atroce avec des demandes incessantes et une ergonomie qui varie à chaque nouveau site. Le web est devenu moche à cause de ça, et la vie privée serait beaucoup mieux protégée si cette fonctionnalité était de la responsabilité des navigateurs (ils pourraient retenir un choix par défaut appliqué aux nouveaux sites que l’on visite).

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Belle faute de grammaire dans le titre.
Où est passé l’adverbe de négation “ne”?

Désolé mais ici le « ne » n’est pas nécessairement obligatoire :wink:

Je t’invite à lire cet excellent document, qui explique les différentes spécificités de l’usage - ou non- de la négation > Pas moins de | Antidote.info