Dans son atelier, un passionné d’informatique rétro a ressuscité la bande perforée en créant une version remise au goût du jour. Ce projet un brin surprenant, baptisé Putapre, redonne vie à une technologie que même des informaticiens n’ont peut-être jamais vue fonctionner.
Bonjour,
Et oui, et on perforait aussi à la main , avec un masque que l’on déplaçait sur une bande vierge.
on lisait les bande juste en visualisant le nombre de points sur chaque ligne verticale
pour corriger on bouchait les trous , et on re-perforait par dessus
je ne vous dit pas le temps qu’il fallait pour écrire un programme sur ces bandes , et sans perforer un point à coté
pour les gros listings ,on avait un genre de machine à écrire , qui au lieu d’imprimer des lettres , perforaient des lignes de trous pour chaque caractère sur la bande.
et encore avant , il y avait des cartes perforées…mais ceci est une autre histoire.
Vécue il y a pas si longtemps que ça…50 ans déjà
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M’en parle pas, ça met un sacré coup de vieux!
Je n’ai pas utilisé de cartes perforées mais j’ai bossé sur des machines qui avaient encore un lecteur de cartes même si on utilisait des VT100 quand même plus « modernes ».
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J’ai gardé 2 bandes perforées que j’avais faites sur la télétype d’un ordinateur solar 16-40 en 1979 à l’école ou on faisait des programmes en basic. La mémoire utilisateur pour cela était de 16 KO.
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Pour moi, c’est déjà le souvenir des énormes cartes perforées des péages d’autoroute et ensuite la bande perforée des télex qui permettait de préparer des messages hors-ligne, avant de les envoyer à l’étranger où la transmission était facturée assez cher à la minute.
@Laurent_Marandet et ces bandes commençaient par zczc
Et c’était de bandes dites « 5 canaux » (5 perforations en largeur) spécifiques aux téléx et non des « 8 canaux » (8 perforations en largeur).
Ça me rajeunit pas tout ça. J’ai commencé mes cours d’informatique sur des cartes perforées « 80 colonnes » puis « 96 colonnes » puis sur des télétypes avec des rubans perforés. On programmait en COBOL et je le surnommais ce langage de « philosophique » (car environnement division, data division, procédure division,…). MDR pour se relire sur cartes ou rubans perforés.
Les disquettes, disques et les écrans (en ebcdic ou ascii) c’était pour bien plus tard.
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C’est intéressant d’entendre parler des anciennes technologies et de leur histoire. J’aime bien voir les anciennes grandes salles pour ordinateurs avec des rouleaux de bandes magnétiques. Ceci dit, j’ai passé le code de conduite pour le permis avec une carte perforée. Cela s’est utilisé longtemps.
@CHP1 Pareil, mêmes débuts que toi à peu près …
Un jour j’ai emprunté une règle à ma mère. Elle était en cm d’un côté, et de l’autre côté, une unité bizarre. Je cherche, c’est pas des pouces, je comprends pas, et je finis par lui demander.
« Ah ça ? C’est quand j’étais programmatrice… On écrivait des programmes, et pour les entrer sur l’ordi, on les passait sur cartes perforées. Pour estimer rapidement la taille d’un programme, on mesurait l’épaisseur du tas avec cette règle ». La règle était graduée en ko !
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Ca, je ne connaissais pas!
Amusant. 
J’ai connu cette règle, et il me semble l’avoir encore quelque part au grenier dans un vieux carton poussiéreux (et aussi une règle pour les imprimantes et autres textes pour connaitre la dimension de la police et le nombre de caractères, et également une règle à calcul …).
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