Ah ?
faudra le signaler à mon prof de géo… de toute façon il est mûr pour la retraite lui, entre se tromper d’étage, radoter sur ma tenue « estivale » alors qu’il fait super chaud…
Suivant Bourso, Stellantis c’est 15.52% du capital pour Exor ( famille Agnelli), 7.74% pour la famille Peugeot et 6.65% pour BPI France. Ce qui fait un équilibre de contrôle entre l’Italie et La France.
C’était une question rhétorique 
1 « J'aime »
Bonne question.
Comment quantifier un investissement face à un risque avéré mais difficilement quantifiable (combien vaut notre indépendance?).
De plus on va bénéficier d’une expérience sur le terrain d’un type de guerre que l’on ne connait pas mais qui semble être « l’avenir » (!). Combien cela vaut aussi?
Questions rhétoriques aussi…
2 « J'aime »
Bonne réponse, d’autant plus d’actualité quand on constate que les USA ne sont pas très fiables et ne font plus vraiment partie des alliés « sûrs » de l’Europe, en tout cas tant que l’agent orange sera en poste. Espérons que ce ne soit qu’une triste parenthèse dans l’histoire des États-Unis.
1 « J'aime »
Une décision de parachuté à un poste.
C’est dommage, ça aurait créé des emplois, et délocaliser une prod d’armes stratégiques…
Quand on voit qu’ils ne soutiennent même pas les fabricants locaux comme PGM précision. Qui du coup exporte son savoir-faire.
Il était tout à fait possible de produire en France et d’exporter ces drones…
Ça aurait eu un semblant de souveraineté.
Notre indépendance 
belle utopie !
Effectivement on est en aucun cas indépendant, et sur aucun domaine.
Mais existe-t’il un seul pays indépendant? Même la Chine n’y arrive pas…
Et si on participe à la conception et que l’on utilise notre savoir faire pour mettre en place l’industrialisation, il n’y a aucun problème pour faire ça chez nous si besoin. Financièrement cela n’a aucun sens, même si encore une fois il est difficile de chiffrer la valeur de l’indépendance complète.
Je suppose que pour le cas présent, stratégiquement, la production ukrainienne a plus de sens: les quelques modèles pour la France n’ont pas d’urgence alors que les milliers d’exemplaire pour l’Ukraine ont besoin d’une chaine de production la plus courte possible!
1 « J'aime »
Y’en a un qui a essayé, et a eu du mal. La mauvaise nouvelle ? Les jobs à valeur ajoutées vont de plus en plus en Chine, quand les jobs « basiques / cheaps » vont désormais en occident :
Le but c’est d’avoir un circuit le + court possible entre la production et l’utilisation de ces drones, avec la possibilité d’adapter/modifier les appareils en temps réel (ou presque) en fonction du retour d’information provenant des militaires ukrainiens sur le front, il faut donc du « made in Ukraine ».
Exporter des drones depuis la France augmenterait sensiblement les délais avec la logistique plus complexe que cela implique et il est important que ce qui sera utilisé en Russie soit produit en Ukraine et pas en France ou dans la zone OTAN, histoire de ne pas donner d’autres prétextes à Putin.
2 « J'aime »