Trois failles majeures dans les puces Bluetooth Airoha, utilisées par des dizaines de modèles d’écouteurs et de casques sans fil, exposent les utilisateurs et utilisatrices à des risques d’espionnage ou de vol de données. Si l’attaque nécessite d’être à proximité, elle n’exige ni appairage préalable ni action de la victime.
La plupart de ces appareils connectés n’ont aucune forme d’authentification pour une plus grande facilité d’appairage. Et ils sont devenus pratiques et incontournables.
La base : dès que vous ne vous en servez pas, coupez le bluetooth.
ça n’a rien d’indispensable, ça ne fait en rien progresser l’humanité.
Certes, mais ils sont omniprésents au quotidien. Une majorité de la population est « filophobe » et leurs TWS ou casques sans fil deviennent incontournables. Ca touche cette puce BT aujourd’hui, puis une autre demain.
Aussi ces personnes ne coupe ni bluetooth, ni le wifi, ni la géolocalisation lorsque pas utilisés. Car c’est « pratique » ou par simple négligence, et vivent avec l’autonomie tronquée de leur téléphone. L’interception des communications est le cadet de leur soucis à moins qu’il y ait des spots télévisés ou des publications dramatiques sur Facebook.
Surtout par ignorance, méconnaissance à charge des power users que nous sommes de partager ces connaissances.
Et si c’est un souci important car jamais l’usurpation d’identité le vol d’informations sensibles n’a été aussi grande aujourd’hui.
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