Commentaires : Tourisme spatial : l'agence américaine de l’aviation modifie les conditions requises pour être qualifié d'astronaute

Futur coup dur pour Blue Origin ? Devant l’émergence rapide des vols spatiaux commerciaux, la Federal Aviation Administration a réévalué les critères permettant d’attribuer des Ailes d’astronautes.

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Des touristes, c’est le seul adjectif valable.

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il faut leur attribuer un équivalent; par exemple, avec les oreilles de Laïka.

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Ou des fondeurs de pôle… Ça reste gentil

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Vu le prix du billet, franchement, c’est pinailler pour pas grand-chose. Quand on voit tout ce que l’argent (en quantité) peut acheter …

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Ce que je ne comprends pas avec la FAA (et Blue Origin par ex) c’est cet entêtement à utiliser les unités du système impérial à l’heure de la conquête spatiale qui devrait être vue sous l’angle international. C’est ce qu’a compris Elon Musk par exemple pour les retransmissions des missions de Spacex ! Qu’on prenne donc la limite de Karman et passons à autre chose…

Pour ce qui est de l’appellation d’Astronaute, je pense qu’elle devrait être réservée aux pilotes, techniciens et scientifiques qui constituent l’équipage d’un vaisseau. Aucun des passagers d’un avion de ligne ne se voit attribuer des « ailes » d’Aviateur que je sache !
Donc pour les passagers du New Shepard, je dirais… Astrotouristes.

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A la citée des Sciences à Paris, il y avait une machine sur laquelle on montait. Puis il fallait sauter sur place. Le temps du saut était mesuré par la machine (moins d’une seconde).

Il m’a été remis par la machine un certificat de vol en apesanteur ! :smiley:

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C’est pas un métier astronaute?

Je conduis une voiture mais je ne me considère pas comme un pilote.
Je prend le bateau, mais je ne suis pas marin.

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Nan mais il fut imaginer que pour Jeff et Richard, avoir les ailes d’astronautes leur permettrait de draguer à donf en boîte de nuit…

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Ca reste qu’une attraction leurs engins. Payer des sommes folles pour quelques minutes.

Même l’appellation de tourisme spatiale me semble totalement loufoque, c’est comme si je passer la frontière d’un pays pendant 5 minutes et que j’était de fait un touriste du pays en question. UN étranger certes, mais un touriste…

A la limite pour la future mission d’un crew dragon cela s’en rapproche avec plusieurs jours dans l’espace.

Même si pour moi l’appelation d’astronaute, spationaute, cosmonaute devrait rester limiter à ceux qui ont effectivement travailler à atteindre cet objectif, et pas juste payer une somme mirobolante.

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La n est pas la question, c a mérite juste d inventer un nouveaux mot: ASTRONOFRIC

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Perso je pense qu’il faudrait distinguer trois corps:

  • les astronautes professionnels (suborbital ou orbital faisant parti d’un corps d’astronautes d’une agence ou d’une société spatiale) ayant pour missions de réaliser des travaux scientifiques ou techniques.
  • les astronautes touristes (vol en orbite). Personne indépendante ayant payé son vol pour un vol de plaisance, ayant subit un entrainement/formation de plus d’un mois.
  • les touristes spatiaux (vol suborbital), personne indépendante ayant payé son vol pour un vol de plaisance et sans avoir subit un entrainement de plus d’un mois.

Parce que là ça devient un peu n’importe quoi, ça devient du marketing et y en a marre que les américains imposent leurs normes quand ça les arrange. Il y a une fédération internationale (dont les USA font parti) qui fait foi, point barre.

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Ça fait quand même cher le pin’s

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@tomcat75 - je me suis lancé et viens d’envoyer un email à la FAI. J’ai donné les coordonnées de Susanne qui conduira le bus 11 au départ de ma station rue Bechtet dans le 13ème demain matin. Susanne souhaite participer au programme de clarification dans lequel elle va expliquer à la FAI que la régie de bus a vraiment très simplement établi qu’un conducteur de bus et bah c’est celui qui conduit. Que les passagers beh c’est ceux qui sont assis ou debout mais qui conduisent pas.

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C’est vrai qu’au revers d’une veste, ça en jette… $urtout la finition dorée…

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Membre d’équipage ou passager tous sont des voyageurs de l’espace, c’est-à-dire des spationautes.

Par contre quelqu’un qui fait juste une incursion dans l’espace on ne peut pas dire qu’il voyage dans l’espace, car son véhicule est incapable de voyager dans l’espace.

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Aux USA, bien qu’ils aient signé l’accord sur le système métrique, c’est toujours les mesures impériales qui sont utilisées sauf dans de rares cas. Ainsi, des sondes interplanétaires US ont été perdues car le concepteur et l’opérateur ne servaient pas les mêmes unités (par exemple calcul de poussée en Pound ou en Newton). Dans L’ISS, toute la partie US utilise des boulons et raccords de tuyauterie en pouce et les parties Russes, Japonaise et Européenne du matériel métrique. Seuls chez tous le monde, les composants électroniques ont des dimensions en fraction de pouce (empattement circuits intégrés par exemple) dans tous les domaines civils et militaires.

Réservons le qualificatif d’astronaute (étymologiquement navigateur des astres) à ceux qui font le tour complet de la Terre.
Quant à ceux (Bezos, Branson, pilotes militaires de X15, A.Shepard, V.Grissom) qui, ne parvenant pas à s’affranchir de la gravité terrestre, se sont juste élevés au-delà des couches denses de l’atmosphère avant d’être contraints de retomber, le terme le plus approprié me semble-t-il serait karman(n)aute.

En faite c’est pas des ailes d’astronaute qu’il faut donner.

C’est des ailes de polluonaute.

Bien polluer pour 15 mn d’adrénaline, un vrai passe temps de riches désœuvrés.

« Aux riches fans d’espace soucieux de leur bilan carbone, il sera par exemple bientôt possible de tester des voyages en ballons « à zéro émission » , que proposera notamment la société française Zephalto dès 2024. À 25 km d’altitude, propulsés par de l’hélium - un gaz neutre -, les passagers plongeront dans l’obscurité de l’espace pour y admirer la courbure de la planète bleue. Sans la mettre à mal. »