De nombreuses études ont prouvé qu’il y a eu moins de morts lié aux incidents nucléaire qu’a la pollution généré par les centrales a charbon. Or plus il y a de renouvelable, plus il faut de centrales a gaz/charbon pour pallier l’intermittence.
L’éolien/solaire tue donc plus que le nucléaire.
Commentaires : TotalEnergies lance son méga-projet éolien, le plus grand jamais construit en France!
J’ajouterai que les pales d’éoliennes sont faites en matériaux très polluants et peu recyclables…
Ce qui fait d’un incendie d’éolienne une vraie catastrophe.
Et chaque éolienne terrestre a une embase de plusieurs centaines de m³ de béton et d’acier, qui oui est recyclable, mais a un impact sur le sol et rend le démantèlement difficile.
Quant aux éoliennes marines, elles font du bruit qui dérange les cétacés et les « petits poissons ». Je ne suis pas sûr de l « effet récif »…
« Non, vous n’avez pas dit le contraire, vous l’avez sous-entendu, c’est plus sournois. »
Qu’ai-je donc sous-entendu exactement ?
Heu, eh bien je persiste et signe, des positions intermédiaires existent bel et bien, et heureusement.
Oui, des gens sont pro ENR, et des gens ou des partis veulent aussi raser les éoliennes et planter du nucléaire à qui mieux mieux aussi, on est d’accord.
Des dégâts surestimés peut-être, demander au Japon combien de dizaines de milliards cela leur a coûté, et ce que cela leur coûtera durant plusieurs décennies encore.
Reste que pour une industrie qui prétend au risque 0, on commence à en être loin.
Ce qui s’est passé à Fukushima n’est pas comparable à notre situation, je pense. La France est peu sujette aux tremblements de terre comparativement au Japon…
Ce n’est pas le tremblement de terre qui a causé la catastrophe de Fukushima, c’est l’inondation.
Suite à ça, il a justement été jugé que certaines centrales françaises pouvaient être vulnérables en cas de grosses inondations, et des mesures ont été prises (installation d’un diesel de secours supplémentaire mieux à l’abri des inondations, renforcement et/ou rehaussement de certaines digues de protection).
Les conséquences de l’utilisation massive du pétrole et du charbon se chiffrent également en dizaines de milliards. Chaque année.
Rien que l’impact sanitaire du charbon, dans l’UE, il est estimé autour de 60 milliards d’euros par an. Et à ça faut ajouter les impacts non sanitaires, et en particulier le dérèglement climatique…