Un réseau capable de brouiller les pistes au point de rendre toute surveillance caduqe : c’est la promesse du Mixnet. Moins connu que Tor ou les VPN, il intrigue autant qu’il fascine, et pourrait bien redéfinir les règles de l’anonymat en ligne.
Incroyable, enfin un article honnête et objectif concernant les VPN.
En même temps il fallait bien compenser l’article du 8 février repli de mensonges et d’inepties sur le sujet…
En dehors des cypherpunks, il lui faut un use-case légitime. Il semble que le vote électronique revient souvent dans les recherches.
Est-ce que monsieur ou madame tout-le-monde a besoin d’une telle protection ? NON.
Par contre, les têtes de réseau du narco-trafic, les réseaux criminels ou terroristes, OUI.
Encore une solution, qui sous couvert de progrès, va améliorer l’activité des parasites de la société.
Étant donné l’état de chaos de l’ère numérique qui s’annonce. Entre le deepfake, les États comme la France incapables de gérer la sécurité de leurs données et en phase d’entrer dans une phase extrêmement autoritaire, il est pourtant assez sain de se poser des questions sur son identité numérique. Même s’il s’agit simplement de donner son avis sur Clubic.
Il y a 10 ans, la France parlait d’identité numérique en clair sur le net (pas de séparation entre l’état civil et le réseau). Aujourd’hui, il est évident que plus nous serons anonymes, plus nous serons en sécurité. Même monsieur et madame tout-le-monde. Pour leur bien.