Commentaires : Test Mountain Makalu 67 : une souris gamer qui vise les sommets

Sur le marché des souris gaming, la tendance actuelle est clairement aux modèles ultralégers dont la coque est parsemée d’alvéoles. La Mountain Makalu 67 va tenter de se faire une place sur ce segment, entre des références comme la Model O ou encore la MM710 de Cooler Master.

Encore (très) peu connus sur la scène des périphériques gaming, les Allemands de Mountain ont fait parler d’eux ces derniers mois avec un concept de clavier entièrement modulaire, l’Everest, financé sur Kickstarter. C’est néanmoins la Makalu 67 qui signe l’arrivée de ce nouvel acteur sur le marché, une souris gamer au poids plume et au tarif raisonnable que nous avons eu l’occasion de tester.

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J’insiste sur la poussière et surtout la crasse inévitable avec la sueur après peu de temps. Une solution consisterait à intégrer un ventilateur refroidissant la main comme certaines manettes de jeu. le poids et le prix s’en ressentiraient. En définitive, rien de vaut une coque abs lisse, facile à nettoyer avec un chiffon microfibre.

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J’ai la Glorious Model O depuis un peu plus d’un an maintenant et je la nettoie quand elle devient sale (avec la sueur effectivement) mais ça se fait bien avec un coton tige et de l’alcool il suffit ensuite de la secouer un peu passer un coup d’aspirateur et c’est reparti !
À côté de cet aspect un peu moins pratique les avantages d’une souris légère et alvéolée sont vraiment nombreux et le confort est sans égal. Aussi je prédis un très bel avenir à ce modèle pour les gens qui ont besoin de changer de souris alors c’est sans doute le moment de tester celle ci avec un bon capteur à bord qui ne devrait pas décevoir.

Devant une telle souris, ma question serait « se démonte t’elle facilement ».

La poussière et la crasse ne sont un problème que si on ne peut pas les nettoyer facilement.

S’il suffisait d’enlever deux visses, de passer un coup d’air comprimé et d’envoyer la coque au lave vaisselle, ça serait très simple.

En revanche, s’il fallait arracher les patins pour accéder à la visserie et/ou se taper des clips en plastique, ça le serait beaucoup moins.

Aussi, en ces temps d’écologie, il serait bon d’interroger les fabricants sur la disponibilité éventuelle de pièces détachées. Par exemple, un câble de remplacement pour les souris filaire. La batterie pour les souris sans fil. Ou tout autre partie d’une souris qui pourrai s’user.

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@KlingonBrain Test mis à jour afin de répondre aux question à propos du démontage de la souris :+1:

Ah, super, merci beaucoup. C’est très professionnel de votre part.

Déjà, cela confirme l’absence de clips, ce qui est un très bon point.

Le démontage semble assez classique pour une souris. Pour le visses sous les patins, la petite astuce que j’utilise est de faire un trou dans le patin, juste de la largeur de la tête de visse. Ca ne gène pas la glisse quand ils sont assez large. Et ça permet un démontage encore plus simple.

Sinon, si j’en juge par l’absence des switch omron sur la carte visible, ils doivent se trouver sur une seconde carte. Probablement tenue par d’autre visses. Il faudra bien sûr la démonter si on veut mettre la coque au lave vaisselle.

La disposition « double carte » est aussi très classique. Sur certaines souris, la carte supérieure est solidaire de la carte inférieure et non de la coque. Il y a des avantages et inconvénients aux deux dispositions. L’avantage de celle ci, c’est que l’on peut plus facilement remplacer les switch le jour ou ils seront fatigués.

Merci ! Effectivement j’aurais pu montrer la seconde carte, j’ai peut-être été un peu vite en besogne en capturant ma photo :slight_smile: