Tesla fait face à un recours collectif qui pourrait faire mal. La firme d’Elon Musk est en effet accusée d’avoir manipulé les compteurs kilométriques de ses voitures.
Ca permet aussi de gruger sur l’autonomie réelle du véhicule…
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Ma belle mère (une femme sage) disait souvent « À trop vouloir tu n’auras rien »…
Je ne vois pas où est le problème. Paris / Roissy en Tesla, ça fait quand même 137km. Sans recharge ! 
Ça, plus l’arnaque en cours au Canada, où la diminution des ventes est estimée à environ 70% en ce début 2025 par rapport à la même période 2024. Une dégringolade sans précédent. Et où quatre concessionnaires Tesla ont déclaré avoir vendu plus de 8000 véhicules en un week-end dans leurs boutiques vides (soit, plus qu’en un trimestre), et ce, juste avant la fin des subventions par l’état sur les véhicules électriques.
Ce qui ferait approximativement une vente par minute dans chaque concession. Plus que de baguettes chez mon boulanger. Tesla soutient qu’il s’agissait de demandes en retard et non de transactions nouvelles ou inventées, et menace d’attaquer le Canada qui a gelé les demandes pour mener une enquête.
Sans oublier le clash Musk vs. Peter Navarro (le dernier dingo à la Maison Blanche), qui nous révèle que les Tesla sont en réalité des voitures chinoises maquillées. Des batteries roulantes en provenance de Chine et d’Asie (sauf les pneus ?), dont seulement une partie est assemblée aux USA.
La marque Tesla qui a mis des années à se construire une image américaine, cool et responsable, a pris du plomb dans l’aile.
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Il est tout-à-fait possible que ces concessionnaires canadiens aient eux-mêmes acheté les voitures pour profiter des subventions et prévoient de les revendre en occasion. Ce n’est pas du tout éthique, mais pas forcément illégal selon les règles canadiennes. À voir donc.
100 de moins et ça ira mieux (pour ceux qui ne savent pas)
Je, QUOI ?! 
Tesla n’utilise pas un simple compteur basé sur le nombre de tours de roues et la circonférence des pneus ? 
Mais pourquoi vouloir « révolutionner » ce truc ?
Bon, en lisant l’article, on a la réponse, hein, évidemment. 
Ca me semble dingo que ça puisse être homologué en l’état.
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En Europe, pas sûr que ça soit conforme… Il n’y a pas de règle sur la marge d’erreur du compteur de distance, il y en a seulement sur le compteur de vitesse et sur le fait que le compteur de distance ne doit pas pouvoir être trafiqué. Mais il y a un texte qui donne cette définition pour le compteur : « par «compteur kilométrique», on entend un instrument indiquant au conducteur la distance totale parcourue par le véhicule depuis sa production ».
Or si le compteur « utilise des algorithmes prédictifs, des mesures de consommation d’énergie et des multiplicateurs de comportement du conducteur », factuellement, il ne mesure plus « la distance totale parcourue par le véhicule »…
Mais peut-être aussi que Tesla n’a pas fait ce bricolage sur les modèles européens…
Après, même si ce bidouillage était légal, j’aurai quand même tendance à considérer que si la garantie s’applique sur la base d’une distance mentionnée en km, elle doit être valable tant que la voiture n’a pas dépassé cette distance réelle… Parce que « km », c’est pas « le machin que le compteur affiche comme des km »…
Donc si le client prouve que le compteur délire complètement, ça semble assez légitime que au bénéfice du doute, la garantie reste valable tant que le constructeur ne prouve pas que la voiture a effectivement dépassé la distance… Curieux de voir ce que dira la justice sur ce point…
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Ça fait +25 ans que mes motos n’utilisent plus ce système basé sur les tours de roues.
Et en automobile c’est également très utile pour avoir des pneus hiver avec un diamètre assez inférieur au diamètre des pneus été, afin de pouvoir avoir suffisamment de place pour placer d’éventuelles chaînes
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J’ai quand même du mal à y croire, c’est tellement énorme que ça serait déjà sorti si c’était le cas, non ?
Je ne suis pas sûr qu’il soit légal, tout du moins en France, de conduire un véhicule avec des pneus d’un diamètre différent de ceux qui l’équipaient en sortie d’usine.
C’est plus ou moins exact, il y a des tolérances qui sont variables d’un pays à l’autre.
Exemple, ma voiture avait d’origine des pneus 185/60 x 16, c’est une dimension assez peu courante qui ne laissait pas beaucoup de choix dans les marques. Alors j’ai monté des 195/55 x 16 qui sont dans la tolérance autorisée en Belgique de -2% (ou +1%) par rapport au diamètre d’origine (il y a un calculateur officiel pour savoir si vous serez ou non dans les tolérances). Mais en France, la tolérance est inférieure à ces -2%* et le 195/55 n’est pas autorisé, ce sera refusé au CT.
- il me semble avoir calculé un jour qu’elle était aux environs de -1,3%.
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Tiens, je suis allé chercher des infos à ce sujet, et a priori, non, on ne peut pas légalement mettre des pneus hiver d’un diamètre significativement plus petit sur une voiture.
Ce paragraphe en particulier :
b) diamètre extérieur théorique compris dans l’intervalle de tolérance du diamètre théorique de la dimension d’origine, tel que défini par l’ETRTO (European Tyre and Rim Technical Organisation) qui standardise les caractéristiques dimensionnelles des pneumatiques. Cet intervalle correspond à +/- 3 % de la hauteur de boudin.
Ça implique, si je comprends bien, que l’on ne peut pas monter des pneus ayant un diamètre inférieur à moins de 1 cm par rapport aux pneus d’origine pour une voiture standard.
Donc si les chaînes ne passent pas avec les pneus d’origine, ils ne passeront pas non plus avec des pneus hiver conformes aux règles.
Même si c’est pas mesuré directement sur les roues, au final la taille des roues, si elle n’est pas la même que d’origine, jouera quand même sur la mesure.
Car tous les autres points de mesure sont liés.
Il n’y aurait qu’avec une mesure optique de la vitesse de défilement du sol ou avec un suivi GPS qu’on pourrait mesurer sans être faussé par un changement de la taille des roues. Mais ces systèmes ont d’autres faiblesses qui compromettent également leur précision (et à ma connaissance, aucune voiture n’utilise de tels systèmes, ni pour le compteur de distance ni pour celui de vitesse).
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On est très stricts sur ce genre de chose en France.
Je me rappelle avoir entendu un marchand de pneus refuser de monter sur une voiture des pneus avec un indice de vitesse inférieur à celui des pneus d’origine, alors que l’indice de vitesse d’origine était à 225 km/h.
Et aussi un refus au contrôle technique d’un poids-lourd parce que sur les 4 pneus d’un même essieu, tous rechappés en même temps et avec le même dessin d’origine, une des carcasses de pneus était d’une marque différente des 3 autres.
Ca c’est pareil en Belgique, on peut monter un indice de vitesse supérieur, par exemple HR → VR, mais pas un inférieur (mais on est d’accord que c’est idiot pour des voitures dont la vitesse maximum est très inférieure à celle d’un indice donné)
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Quand on parle de tours de roue, je suppose évidemment qu’on parle de compter les tours d’un truc qui tourne en relation avec les roues. Il me semble que de nos jours, c’est un capteur en sortie de boîte de vitesse, et l’ordinateur fait juste le calcul en fonction du diamètre des roues, du rapport de vitesse et du ratio de différentiel (C’est comme ça sur mon camion, et il est facile à débrancher si nécessaire).
Je ne saurais plus dire ce qu’il en était pour toutes les motos que j’ai possédées, mais ma Honda VFR 750 RC36I de 1992 avait déjà un capteur de vitesse en sortie de boîte. ^^
Par contre, le système était purement mécanique, le câble du compteur était branché sur un boîtier lui-même fixé via un simple cabochon en plastique sur l’axe du pignon de sortie de boîte. Or ce cabochon s’usait, je l’ai bien vu lorsque la vitesse affichée ne correspondait plus du tout aux nombre de t/m sur un rapport donné, j’ai du le remplacer.
Enfin bref ! Tesla a encore des emm***. Youpi ! 
Et ça fonctionne comment alors ? 