Le port des caméras-piétons devrait prochainement être pérennisé pour les agents travaillant dans tous les transports publics de France. Ces dispositifs, généralement placés au niveau de la poitrine de policiers, permettent de capturer des images de leurs interventions.
« Depuis le 1er octobre, les agents n’ont plus le droit de porter ces appareils dans le cadre de leur travail. »
faudrait peut etre les mettre au courant alors puisqu’ils les portent toujours, pas plus tard qu’hier soir.
C’est toujours cocasse ce principe de proposer des solutions technique en décalage avec les problématiques.
En attendent, un simple citoyen n’a toujours pas le droit de filmer la voie publique, encore moins dans les faits si c’est un agent dépositaire de l’autorité publique, à coups de LBD40 menacent, visant simple badaud et journalistes. ( bon j’en fait un poils des caisses, mais c’est récurant et vécu.)
Je pense que c’est pour l’effet placebo
Peu importe, ils n’ont (temporairement) plus le droit.
Ils sont censés faire respecter la loi. Qu’ils commencent par la respecter eux-mêmes.
Excellente mesure qui protège les deux parties et qui va permettre de factualiser beaucoup de choses notamment les outrages à agent qui devront systématiquement être sanctionnés.
Vivement la fin des « rappels à la loi ». Vivement les sanctions systématiquement effectives et effectuées.
Une caméra de vidéo-surveillance ne fait que déplacer les problèmes, elle ne les résouts pas.
Pour le reste, c’est de la politique, on est clairement pas d’accords, je ne vais pas m’étendre sur le sujet.
On parle de caméras piétons (en Belgique on a gardé le terme anglo-saxon, bodycam), pas de vidéosurveillance publique dissuasive. Le but n’est pas le même. ![]()
Oui surtout que ça protège les deux parties et ça simplifie largement les enquêtes dans beaucoup de cas.
Ca peut être utilisé autant pour dénoncer une bavure que pour justifier rapidement l’utilisation d’une arme à feu si on voit clairement la personne dégainer une arme ou tenter d’atteindre à la vie du policier ou encore les outrages à agent ou de délit de fuite (ou le visage de la personne/la plaque d’immatriculation… sont enregistrés).