La Chine marque une nouvelle étape de son développement technologique avec le début de la mise en place d’un projet colossal : un supercalculateur qui opère directement depuis l’espace.
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Ça va faire cher le changement de barrette de ram ou de SSD…
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C’est brillant je trouve : Energie "illimitée’ solaire, pas besoin de systêmes de refroidissement ; si on met de côté la pollution orbitale certaine, je ne vois pas de meilleure configuration.
Si, et c’est même probablement l’une des grosses difficultés du projet… Dans l’espace on ne peut dissiper la chaleur que par radiation, ce qui est bien moins efficace que de le faire par échange thermique avec un fluide circulant… Même un simple humain doit être équipé d’un système de refroidissement quand on l’envoie dans l’espace 
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Puis en fait ça manquait un poil de satellites la haut, a peine 12 000 a peu pres, ça faisait vraiment mesquin…
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oui en effet j’ai juste réfléchi aux -120 à l’ombre, mais vu que ils vont surement suivre le soleil on sera plutôt à+150 
My bad
Sans oublier que dans l’espace nos satellites non bien moins protégés par l’atmosphère, donc soumis aux radiations et autres vents solaires… Faut blinder tous ça et même méga blinder, surtout avec des systèmes informatiques de pointes dernière génération (IA oblige).
Au final c’est beaucoup de galère pour faire des calculs dans l’espace alors qu’il serait moins coûteux de le faire sur Terre. Il faut surtout y voir un avantage militaire plus que scientifique.
Et bien sûr, on oublie pas la pollution orbital. On a déjà pourri la planète, on continue en pourrissant bien l’espace 
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Mais même sans parler de ça, ton processeur il chauffe autant en orbite qu’il chauffe sur Terre quand il est sollicité, donc faut le refroidir, et là pas de ventirad, ou de waterblock avec un simple radiateur ventilé.
Et c’est sans compter comme tu l’évoques sur les variations de température par présence ou absence du rayonnement solaire, qui impactent les systèmes de refroidissement par rayonnement IR.
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Ils en téléchargeront, comme tout le monde 
« potentiellement réduire l’empreinte carbone »
Même en comptant les 400 tonnes de CO2 par lancement ?
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