Il parait qu’il y a des journalistes spécialisés dans ce domaine, mais c’est surement pas vrai…
Il y en a des dizaines d’autres comme ça, faut arrêter de raconter n’importe quoi :
Extrait de l’article :
L’approche décentralisée, .choisie par l’Autriche et l’Allemagne, (…). Un des protocoles les plus mis en avant est DP-3T, qui a probablement inspiré Apple et Google dans la conception de leurs outils.
Dans cette approche, le serveur central ne va recevoir que les pseudonymes des personnes contaminées.
Ensuite, le serveur central va envoyer une liste des pseudonymes des personnes infectées à tous les smartphones.
Donc je ne sais par pour vous mais pour moi, décentralisé et serveur central qui accumule des informations c’est antinomique
C’est parce que vous vous en tenez à une explication purement technique dans laquelle vous avez sans doute raison.
Mais le contexte de l’appli donne une autre définition de « décentralisé », qui consiste à faire transiter des infos anonymisés sur un serveur mais à garder celles essentielles dans le téléphone de chaque personne, rendant impossible le traçage par l’Etat.
Ca s’oppose à la version centralisée du gouvernement, dans laquelle l’anonymat n’est pas pris en compte et qui permet de tracer chaque personne.
Je ne défends ni condamne aucun protocole, mais plutôt que de s’envoyer des tartes à la crème sans comprendre, je voudrais qu’on se concentre sur ce qui compte. Cette distinction de gestion des données ne change rien sur le fond.
Heureusement que non. Ce serait extrêmement difficile de désanonymiser la base statiquement. En croisant avec des info dynamiques (journaux de connexions ou de transactions) cela resterait très difficile.
Mais comme il y a une relation 1 pour 1 entre une appli et un identifiant dans la base cela reste pseudo anonyme.
Un avantage du protocole Robert est que l’on sait combien il y a de cas à risque. Je crois pas que ce soit le cas avec le DP-3T.