Et si la vidéosurveillance influençait plus qu’elle n’observait ? Des recherches récentes montrent que les caméras de surveillance modifient subtilement des processus cognitifs essentiels, tels que la perception des visages.
j’en ai une en face de ma fenêtres.Avant je me grattais les … à la fenêtre quand il n y avait personne dans la rue.plus maintenant 
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J’ai le majeur de la main droite nettement plus souple et réactif depuis qu’il y a des caméras… Je me demande bien pourquoi…
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les oreilles ? les narines ?
Ce n’est plus à démontrer que notre comportement change quand on se sent observé. Mais dans ce paradigme, on a l’impression que le sujet de l’expérience s’identifie à celui qui est derrière la caméra en observant les autres à son tour.
Comment ? il y aurait autant de caméras en Irlande qu’ailleurs, ce ne serait pas le paradis tant vanté ? 
Du moment qu’on a pas (encore) de caméras dans les bureaux 
Cela dit, mon lieu de travail est truffé de caméras, mais c’est la sensibilité du site qui veut cela. Et cela a un côté plus rassurant pour nous jamais personne ne s’est plaint de leur omniprésence.
Je vante un peu les louanges des caméras car elles m’ont aussi permis de retrouver récemment les deux auteurs d’un vol commis chez nous. Bien évidemment, il faut une législation correcte sur le sujet pour éviter de tomber dans le délire « 1984 ».
C’est pas de la sécurité mais du contrôle des humain. C’est la réponse des politiques à leur impuissance pour améliorer notre cadre de vie, en prenant le problème de la sécurité a la base.
On est déjà dans le délire 1984.