Commentaires : Silent Hill : il est des cauchemars dont on ne revient pas

Silent Hill est une épreuve. Loin des schémas modernistes visant à éliminer au maximum la frustration de l’expérience du joueur, le survival horror de Konami n’a pas été pensé pour être amusant, et relègue la notion de plaisir au second plan.

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Personnellement Silent Hill 2 a été une claque. C’est un jeu (?) dont on sort pas indemne !
Des le début, avec la lecture de la lettre de Mary on est happé par le jeu et on se sent tenu de se lancer dans cette quête… Des années après j’en garde toujours une nostalgie.

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Excellent jeu, merci pour cette chronique !
Mon frère avait poncé RE 1 à sa sortie, avec des runs sous les 2h.

Il as pris un malin plaisir à jouer à jouer à Silent Hill et il m’as vanté les mérites de ce jeu, bien plus ancré sur l’horreur que RE, qui opère un peu comme un slash movie.

Je l’ai fini presque 10 ans plus tard et je avouer que oui, le jeu est vraiment plus malsain et orienté vers l’horreur, à la manière d’un Clive Barker, que RE.

Le film sortie au début des années 2000 fût également bon de mémoire, mention spéciale pour PyramideHead, aussi étrange que dans le second opus sur console.

Une série donc que j’ai apprécié, une décennie sur le tard, et que j’aimerais revoir sur le devant de la scène, à l’heure ou RE à bien du mal à se remettre en selle, surtout après une traversée du désert qui as bien trop durée.

Merci Clubic !

La PS1 était une console de rupture, très attendue à l’époque par la première génération de joueurs: Resident Evil, Tomb Raider et Silent Hill un trio d’excellence qui en aura fait flipper plus d’un !

Chronique intéressante, merci !

Je rappellerai aussi l’idée de faire « battre » la Dualshock comme un cœur (deux pulsations, une pause, deux pulsations…) dès que le personnage voyait sa barre de vie descendre trop bas. Bien trouvé et bien glauque ça aussi. Sinon bravo pour l’article très bien écrit et correspondant en tous point à mes souvenirs de la série.

Ceci étant Resident Evil, Tomb Raider sortirent également sur la 32 bits de Sega, ce qui motive Sony a signer des contrats d’exclusivité avec certains éditeurs.

Superbe article. Pour ma part, j’ai découvert SH sur le tard, au printemps 2001, un copain au lycée m’ayant passé ce jeu qui trainait dans son sac un vendredi. Seul à la maison, j’ai passé le week-end dessus, m’arrêtant juste pour… enfin vous voyez :smiley:
Quand quelques semaines plus tard je suis tombé par hasard sur la bande annonce du 2, j’ai pris une de mes plus grosses claques « jeuxvidélodiques », ce second épisode justifiant à lui seul (pour moi) l’achat de la PS2. Je l’ai encore aujourd’hui, et en garde un sacré souvenir.

John Romero ??? vous êtes sérieux???

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Oh mon dieu je corrige ça de suite !