La polémique Shein n’a semble-t-il pas effarouché les consommateurs parisiens. Ils sont nombreux à être ainsi allés faire un tour au BHV de la capitale.
Qui va croire les propos de cet énergumène ? https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/081025/en-pactisant-avec-shein-le-sulfureux-patron-du-bhv-s-est-tire-une-balle-dans-le-pied
C’était évident : Moi même, qui n’ai absolument RIEN A CARRER de Shein habituellement, je n’ai même jamais mis le nez sur leur site, j’ai failli y aller voir à force d’en entendre parler partout ces derniers jours… Mais ça va, ça m’a passé.
Entre un article qui date d’avant l’ouverture d’un côté,
Le fait que beaucoup de clients potentiels se moquent que ça soit chinois ou n’ont pas le choix que de prendre le moins cher de l’autre…
Ce qu’il raconte n’est pas forcément impossible, ni même étonnant!
moi shein je trouve que cest bien pour les travailleur pauvre pour habiller les enfants temu ali express ,on nous fai des lecon de moral sur la planete je site seulement lentreprise totale qui est le numero un a defoncer notre planete pour toujours senrichir nous les francais on est pas mieux que les chinois peut etre meme pire
La rédac ? ![]()
Tant qu’à écrire des âneries, vous pourriez au moins faire un effort pour les rédiger dans un français correct et COMPRÉHENSIBLE.
Merci.
Ce n’est pas pour rien qu’en France on fait la différence entre provinciaux et parisiens…
C’est aussi à Paris qu’on a la plus forte concentration de personnes d’influences néfastes ou Psychopathes qui tournent autour du pouvoir…
Plutôt contradictoire avec les propos du patron, non ?
Ha flûte, je n’y avais pas pensé, parce que j’ai eu un abonnement gratuit offert par mon FAI. ![]()
Je vais copier-coller l’article :
Nous avons visité la boutique Shein à Paris, moins d’une semaine après l’ouverture : « Le soufflé est déjà retombé »
Une semaine après son ouverture polémique au BHV de Paris, nous nous sommes rendus à la boutique Shein, le géant chinois de l’ultra fast fashion, pour découvrir les lieux. Verdict : les consommateurs ont vite compris… et c’est tant mieux !
En une semaine, l’effervescence autour de la boutique Shein de Paris a bien changé. On serait même tenté de dire que le soufflé est retombé, tant l’ouverture de ce lieu symbole de l’ultra fast fashion et de ses dérives, avait fait jaser.
Ainsi, dès qu’on entre dans le BHV, on ne peut pas louper plusieurs corners qui sont vides, abandonnés dare-dare par des marques qui ne voulaient pas être associées à l’arrivée de Shein et qui se positionnaient en total désaccord avec le choix de BHV: Odaje, Maison Pechavy, Culture Vintage, Aime, Talm…
Sur les escalators, de grosses affiches indiquent qu’il faut monter au 6e étage pour découvrir la boutique Shein. C’est parti… Et encore une fois, étage par étage, on peut voir des espaces laissés vides en guise de protestation commerciale. Ce qui fait évidemment mauvais effet…
Et au 6e étage, que découvre-t-on ? En fait, très peu de clients. Et un espace Shein finalement restreint, puisque l’enseigne n’occupe que la moitié de l’étage, l’autre étant réservée à « l’artisan de Noël ». Un dispositif pour réguler les files d’attente a été installé avant d’entrer dans la partie Shein. Totalement inutile lors de notre venue, on arrive donc directement devant un vigile chargé d’inspecter les sacs des visiteurs.
Ensuite, le Graal s’offre à nous. Enfin, le Graal… On va vite déchanter. Car si Shein est connu pour son assortiment énorme et ses prix plancher, qui font d’ailleurs leur succès chez certains consommateurs, on remarque tout de suite que les prix boutique sont plus importants que sur le site internet.
Ici, les vêtements sont classés par type et taille (ça taille petit, précisons-le), et les étiquettes montrent une photo du modèle porté pour permettre aux clients de se faire leur première idée. Ils peuvent ensuite essayer, en cabine, s’ils le souhaitent.
Côté prix donc, on a vu une combinaison de sport à 12,49€, qu’on a retrouvée sur le site à moins de 10€. Idem pour un pull noir boutonné tout ce qu’il y a de plus basique, vendu ici à 20,99€, ou encore un pantalon en simili cuir à 24,99€. Des prix qui n’ont pas de quoi faire rougir d’autres enseignes de prêt-à-porter moins décriées que le géant chinois.
On a eu beaucoup de monde jusqu’à ce week-end mais depuis lundi, c’est mort
Une employée du BHV
Certains prix semblent donc élevés pour une marque bâtie sur le low-cost. Les étiquettes, dotées de photos censées montrer le rendu porté, n’aident finalement pas davantage : les clients regardent, comparent, mais repartent sans acheter. L’enthousiasme n’y est pas.
« Je suis venue par curiosité », nous explique une cliente d’une cinquantaine d’années. « Franchement, quand je vois finalement ce qu’on propose ici, je me dis que ça ne vaut pas le coup d’acheter, et que ça ne valait pas non plus tout le foin qu’on a fait autour de ça ».
Aux caisses, c’est aussi le vide… Et une employée nous le confie : « On a eu beaucoup de monde jusqu’à ce week-end mais depuis lundi, c’est mort. C’étaient beaucoup de curieux, les ventes ne suivaient pas forcément. Tant qu’on en parlait à la télé, ça faisait venir les gens mais maintenant, c’est beaucoup plus calme ».
Et finalement, c’est peut-être la meilleure contre-publicité à Shein qui peut être faite. Des consommateurs qui ont vu et touché les produits, pour se rendre compte qu’ils peuvent avoir aussi bien voire mieux, dans des marques plus respectueuses à des prix similaires.
Il y a deux semaines, on se souviendra qu’une enquête de Testachats révélait que 70 % des produits Shein et Temu testés ne respectaient pas les normes européennes : substances toxiques, métaux lourds, risques pour les enfants… Et même si l’enseigne tente de rassurer avec des affiches réparties un peu partout dans la boutique du BHV, en évoquant la qualité et la traçabilité des articles, on est sceptique…
Une semaine seulement après son lancement, la première boutique permanente de Shein n’a donc rien d’un pari réussi. Et pour une fois, c’est plutôt une bonne nouvelle.
C’est ce que j’avais entendu récemment aux infos, des prix chers contraires aux promesses
Si c’est pour faire ça, au temps aller aux galeries Lafayette ; y a du choix, c’est moins cher avec de meilleurs produits dont certaines manufactures françaises qui se font rares dans les galeries de grandes surfaces…
Perso j’avais entendu que c’était les mêmes prix, sauf qu’ils n’ont pas les produits les moins chers.
Et nonobstant que je n’achète rien chez eux, je trouve que ce n’est pas surprenant, l’emplacement dans Paris c’est pas gratuit.
Et aussi, pour vendre les produits dans des magasins, ils ne peuvent pas s’assoir autant sur les normes que pour des produits vendus sur leur site : dans le premier cas, c’est eux l’importateur, ils sont donc responsables et punissables en cas de non conformité.
Donc forcément, les produits les plus bas de gamme, dont le prix vient en partie justement d’un non respect des normes, ils prennent pas le risque de les importer.





