Samsung a pour projet d’imiter le cerveau humain, et de le « copier-coller » sur un réseau de puces 3D. Objectif : développer plus rapidement des systèmes d’IA, capables d’apprendre et de s’adapter comme de vrais cerveaux humains.
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On s’approche d’Altered Carbon ?
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« comme la facilité d’apprentissage, l’adaptation à l’environnement, la faible consommation, ou encore l’autonomie et la cognition. »
Faut prendre un bon cerveau alors, parce que l’a facilité d’apprentissage c’est pas pour tout le monde.
Plus sérieusement je trouve ses recherches très interessantes mais très inquiétantes en même temps. Je ne veux pas spoiler Asimov pour ceux qui ont un abonnement Apple ou qui vont lire les livres mais on y va tout droit.
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L’expérience avait été déjà tentée et fonctionnait avec des neurones de sangsue il y a quelque temps déjà.
Cf. article ZDnet « L’ordinateur aux neurones de sangsue fait des additions ».
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Je veux bien que mon cerveau soit copié / collé puis logé dans une puce électronique, ainsi il restera peut-être ainsi qqch de moi ci-bas une fois que j’aurais passé la porte de l’au delà 
Tu penses être à ce point irremplaçable ?
On se rapproche de" clone" avec Bruce Willis
Il pourrait peut-être vous étonner. Qui sait hein ?
" Ces données pourraient alors être « copiées », puis « collées » sur un réseau 3D de mémoire à semi-conducteurs "
Faudrait déjà en avoir.
Rien ni personne n’est irremplaçable… au mieux, on est regretté… et encore, dans une espèce de mémoire collective, à l’échelle de l’univers, on est insignifiant (penser le contraire serait très orgueilleux).
Quel serait l’interêt de faire ca? Si on vous clone et que l’on met un cerveau artificiel avec vos données et ce que c’est vous?
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L’UE est ou était sur le coup → Human Brain Project — Wikipédia
Le Human Brain Project ou HBP (en français « Projet du cerveau humain ») est un projet scientifique d’envergure qui vise d’ici à environ 2024 à simuler le fonctionnement du cerveau humain grâce à un superordinateur, et dont les résultats obtenus auraient pour but de développer de nouvelles thérapies médicales plus efficaces sur les maladies neurologiques.
On arrive vers la fin du projet à 1 milliard qui était sur 10 ans. Je ne sais pas ce qui a été obtenu concrètement.
Le transfert de la conscience humaine dans un réseau informatique est un très, très… très vieux serpent de mer qui ressort la tête de l’eau de temps en temps. Mais comme on ne sait même pas encore vraiment comment fonctionne la conscience humaine, le mieux que l’on pourra espérer obtenir est une vague copie imitant la personnalité de l’original.
En quand bien même on y arriverait, cela ne changera rien pour l’original qui à sa mort sera toujours, ben, mort. Comme pour le clonage.
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Bien sûr que non. Seulement une AUTRE entité qui pensera comme nous.
C’est un peu comme avoir un jumeau ; le double n’a pas la même vie ni la même conscience que son frère, même s’ils peuvent sembler curieusement « interconnectés ». La conscience ne me semble pas être transférable. Encore faudrait-il pouvoir décrire précisément ce qu’elle est…
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Même si je suis en grande partie d’accord, cela impliquerai qu’il y a un « truc » (la conscience) qui n’existe pas et qui pourtant existe. En toute logique si on était en mesure de transplanter un cerveau, on transplanterai aussi la conscience. Donc si on fait une copie numérique complète on aurait en gros le professeur Simon du Capitaine Flam. Un cerveau seul, doué de conscience. Si ce n’est pas le cas c’est que la conscience est « mystique » et là c’est une partie de la science qui s’éffondre.
Je ne suis pas en train de parler de l’âme, je ne suis pas particulièrement religieux. Si je devais faire une comparaison ce serait plutôt avec l’idée du « Ghost » de Masamune Shirow. Une chose indéfinissable, un truc, pour reprendre tes mots, qui nous dédifférencie des machines même si notre corps vient à être entièrement mécanisé. C’est par exemple ce « truc » qui nous fait commettre plusieurs fois les mêmes erreurs, ou préférer une option moins efficiente juste par lubie, ce qu’une machine ne ferait pas. Ainsi, dans le film, le personnage le plus humain préfère son révolver complétement dépassé à un pistolet semi-automatique bien plus performant.
Peut être est ce simplement un défaut de fabrication inhérent à l’être humain, peut être est ce autre chose mais le fait est que tant qu’on a pas trouvé quel est ce « truc » et surtout comment le reproduire, on ne saura pas copier une conscience humaine.