On peut très bien vivre sans internet : du moment qu’on a un toit, un salaire, de quoi boire et manger, il y a tout ce qu’il faut pour vivre.
Les seuls que ça va gêner, c’est les financiers, les milliardaires et les boite du numérique.
Personnellement, lorsque je suis né (en 1955), il n’y avait rien de tout cela et je suis en train de vous écrire : je ne suis pas un Deepfake.
Commentaires : Sabotage des gazoducs : et si la même chose arrivait aux câbles internet sous-marins?
Ou les trop nombreux crèves la dalle que ce système a produit… Pour vivre correctement, il n y en pas assez pour tout le monde.
Ça, ça reste à vérifier.
Ne vous tracassez pas on arrête juste les vidéos et la bande passante restante sera suffisante.
Tu n’as pas bien compris le fond de mon propos. Si Internet disparaissait et donc que bien des méthodes actuelles deviendraient inutilisables, on serait bien obligé de réactiver les anciennes façons de faire (ce qui n’irait d’ailleurs pas sans problèmes, tant de choses dépendant aujourd’hui du numérique), voilà ce que ça voulait dire. ^^
Non, on ne peut plus vivre sans internet.
La société c’est organisée autour d’internet.
Et pour le boulot, certes ,il y aura plein de boulot de petites mains pour faire de la compta, du secrétariat, de la paperasserie, … mais aussi pas mal de boulots vont disparaitre: une partie des commerçants, de l’industrie, de la médecine, … On vit dans un monde hyper connecté, pour le pire et le meilleur, mais on est ultra dépendant d’informations venant de très loin et d’organisation. Et même si seulement les échanges avec une petite partie du monde sont perturbés, les impacts resteront forts.
Et la finance, mine de rien, même si il y a des dérives scandaleuses, sert quand même à financer une bonne partie des entreprises, donc indirectement, cela pérennise des salaires.
Je ferai même un parallèle osé avec l’électricité: nos ancêtres vivaient sans, et pourtant tout le monde sert les fesses pour cet hiver alors qu’il faudra éventuellement réduire de 2 à 10% notre conso. Autre comparaison, la dépendance au numérique, regarde comment les entreprises ou les hôpitaux sont dans la panade en cas de ransomware, ça bloque tout pendant plusieurs semaines, voir des mois alors que les papiers et crayons existent encore! On ne sait plus, et même on ne peut plus revenir « en arrière ».
Ah ok, au temps pour moi
Mais si ! Nécessité fait loi.
Ok.
Ce que je voulais dire, c’est que l’on ne peut garder notre façon de vivre sans internet. IL va y avoir des « régressions » (pourquoi pas bénéfiques quelques fois d’ailleurs!) qui pourront seront extrêmement dures à supporter.
Je peux t’assurer, que ce n’est pas si dur que ça : j’y suis passé.
J’ai commencé l’informatique, dans les années 80, plus parce que je m’ennuyais (j’étais seul) qu’autre chose.
Autrement, ça pouvait continuer sans, ça ne m’aurais pas dérangé.
Faut pas avoir peur de l’inconnu.
C’est clair qu’on a tous adopté des aspects pratiques dont la disparition serait ennuyeuse, perso je ne me vois pas faire comme avant pour mes factures : souvent remplir soi-même des bulletins de virement, aller à la banque chercher les sommes nécessaires en liquide, puis passer à la poste pour faire effectuer les virements. Et pourtant je ne travaille plus, ce serait pire pour ceux qui n’ont pas autant de temps libre que moi. ^^
Je parle pas que du petit confort personnel (déjà bien difficile à lâcher…), mais bien du fonctionnement général de la société: les industries, la médecine, les administrations, …
À ceci près que nous n’aurions plus de téléphone…
Je suis assez vieux pour avoir connu une époque où les voisins dans la rue ayant le téléphone étaient rares. Et ils acceptaient que d’autres viennent passer un coup de fil chez eux contre un paiement symbolique de 5 francs belges (environ 0,12 € aujourd’hui). ^^
Mais c’était une époque où les gens étaient plus solidaires, plus sociables et savaient vivre ensemble…aujourd’hui ils se bouffent le nez sur les réseaux sociaux.