Souvent vu et décrit comme un mini-PC peu couteux, le Raspberry Pi trouve néanmoins majoritairement son utilité avec des projets créatifs en tout genre et qui sortent bien souvent de l’ordinaire.
« Nano-ordinateur d’abord destiné à un public de geek et de bricoleurs »
C’etait justement tout l’inverse, destiné a des gens n’ayant aucune connaissance en informatique et pour pouvoir l’enseigner dans des régions avec peu de moyens
« Souvent vu et décrit comme un mini-PC peu coûteux, le Raspberry Pi trouve néanmoins majoritairement son utilité avec des projets créatifs en tout genre et qui sortent bien souvent de l’ordinaire. »
Le RPi4 est un micro ordinateur qui a une puissance de calcul comprise entre un Intel Core 2 Duo et un Intel Core 2 Quad, des cpu’s haut de gamme grand public d’il y a 14 ans… On peut y installer des distribution compilées pour processeurs ARM comme Linux ou Windows.
Arduino est une carte électronique incluant un contrôleur programmable destinées à piloter des périphériques électroniques.
Un RPi peut être détourné de sa fonction première et faire le travail d’un Arduino. L’inverse n’est pas possible.
« Nano-ordinateur d’abord destiné à un public de geek et de bricoleurs »
C’etait justement tout l’inverse, destiné a des gens n’ayant aucune connaissance en informatique et pour pouvoir l’enseigner dans des régions avec peu de moyens
Produit pour l’enseignement ne veut pas dire forcement « pour débutant » tel qu’on l’entendrait dans une classification commerciale.
Rappelons que de base, le pi, c’est une carte mère toute nue. Telle que sortie de son paquet, elle ne sers à rien sans lui rajouter des choses et surtout, sans un minimum de connaissances pour l’intégrer. Pas vraiment ce qu’on peut qualifier d’idéal pour quelqu’un qui n’a aucune connaissance.
Pour le marché, un produit pour débutant, c’est un produit qui est étudié « out of the box » pour se mettre au niveau du débutant, mais sans avoir forcément pur but de le faire progresser.
Un produit conçu dans une logique d’enseignement, c’est plutôt conçu pour faire progresser sous l’égide d’un enseignant qui va transmettre le savoir et apprendre les bases pour utiliser le produit.
Dans ce cadre, c’est plus le faible prix du PI, ses possibilités d’adaptation très large et sa grande logithèque très variée avec beaucoup d’outils de développement qui sont de vrais atouts pour l’enseignement plus que la possibilité d’être utilisé « out of the box » par un débutant sans assistance.
Dans l’esprit des gens d’aujourd’hui, ceux qui veulent faire de l’informatique pour apprendre et progresser, on les appelle aujourd’hui des « geek et/ou bricoleurs » par opposition au fait que la majorité des gens utilisent des produits grands publics dont le but n’est pas de les faire progresser.
Les ingénieurs d’Oracle ont eu l’idée de réunir pas moins de 1060 Raspberry Pi 3 B+ pour un projet dont la portée expérimentale semble bien plus pertinente que l’utilité réelle, si l’on compare les performances de ce supercalculateur à un simple serveur ARM virtualisé.
Il faut comprendre qu’en informatique le mot « performance » peut avoir de nombreux sens et dépends beaucoup de l’usage qu’on vise.
Le RPi4 est un micro ordinateur qui a une puissance de calcul comprise entre un Intel Core 2 Duo et un Intel Core 2 Quad, des cpu’s haut de gamme grand public d’il y a 14 ans…
Ca dépends de ce qu’on compare.
Un RPi peut être détourné de sa fonction première et faire le travail d’un Arduino. L’inverse n’est pas possible.
Non, pas vraiment.
A part sur des cas très simples, le Raspberry PI n’est pas vraiment la panacée pour faire le travail d’un Arduino.
Bien que le PI dispose de GPIO qui lui donnent de la souplesse d’usage, ceux ci n’ont pas la sophistication des unités d’un microcontrôleur spécialisé.
Ensuite le fait que le PI fasse tourner un OS lourd ne le rends pas vraiment très adapté à ce travail.
Enfin, en terme de processeur, un PI et un microcontrôleur c’est tout l’opposé. Puissance et vitesse d’exécution d’un côté. Simplicité et précision temporelle de l’autre.
Le soucis de l’arduino, c’est qu’il est quand même très très limité… Je préfère de loin un esp32. Il faudrait éviter de comparer les cartes avec à microcontroleur avec des cartes avec à microprocesseur, ce n’est pas vraiment fait pour le même usage.
Il faudrait éviter de comparer les cartes avec à microcontroleur avec des cartes avec à microprocesseur, ce n’est pas vraiment fait pour le même usage.
Exactement.
On parle de deux choses différentes qui ont un usage différent.
Le fait que le Raspberry PI possède quelques GPIO est très utile à l’occasion, mais ça n’en fait pas pour autant une carte à Microcontrôleur.
Le soucis de l’arduino, c’est qu’il est quand même très très limité… Je préfère de loin un esp32.
Pas faux.
Les Atmel utilisés dans l’Arduino sont d’excellents microcontrôleurs. Mais il faut dire la vérité, aussi bons qu’ils soient, leur architecture 8 bits est dépassée. Certes, pour beaucoup d’applications, ce n’est pas forcément un souci.
Les ESP32 offrent énormément plus. Beaucoup de mémoire, une architecture moderne avec plus de puissance CPU et surtout, de la connectivité sans fil qui en font un must pour beaucoup d’applications, en particulier pour des objets connectés. Un prix très raisonnable pour tout ça. Et ils supportent l’environnement Arduino. Par contre, d’un point de vue Microcontrôleur pur, je trouve que c’est encore perfectible par rapport aux ténors du genre.
Dans la catégorie des microcontrôleur pur, que l’on utilisera, par exemple pour piloter des moteurs ou autres tâches de bas niveau, je pencherait plutôt vers les STM32. Ils ont en outres de bons ADC. Et ils supportent aussi l’environnement arduino.
Après, on pourrait en citer encore d’autres comme les PIC ou les Atmel 32 bits équipant certains arduino. Certains peuvent d’ailleurs supporter l’environnement Arduino.
La encore, c’est un peu le même débat qu’avec le Raspberry PI, le bon microcontrôleur, ça dépends souvent de ce qu’on veut en faire.
Le problème avec votre déterrage régulier d’un vieil article que vous mettez à jour, c’est qu’on se dit que c’est bon, on l’a déjà vu 2 fois, qu’il y avait quelques mies à jour mais pas tant, donc ce coup ci tant pis, je prend pas la peine de tout reparcourir
Pour pas mal de monde le Rpi c’est un media Center et/ou une retrogaming box…
C’est mon cas… Batocera + Kodi et c’est le pied total.
« Vieil article », mooué, il date du 24/10. Je ne viendrais pas boire un vieux vin chez vous
Il date de juin, a été réutilisé en octobre et une nouvelle fois en novembre. C’est pas « vieux » mais c’est quand même du recyclage (les 2 articles de la liste pointent bien au même endroit).
J’ai rien contre ce recyclage, mais je pense pas être le seul à me dire que tiens, je l’ai déjà vu cet article donc je passe mon tour
C’est rigolo, vous venez m’apprendre que j’ai publié 3 fois le même article, comme si je n’étais pas au courant de ce j’ai écrit et de quand je l’ai publié ! Non les deux articles ne sont pas les mêmes et ne « pointent » pas au même endroit. Il s’agit en effet de deux « Top 10 », qui n’ont cependant rien à voir entre eux si ce n’est qu’ils traitent de la thématique Raspberry Pi.
j’ai tenter les ESP32, rolalala entre les différents constructeurs, les petites mise en service différente, j ai pas encore tout pigé du concept, cela manque de tuto