Commentaires : Qu'est-ce que le "passeport batterie", bientôt obligatoire pour les véhicules électriques?

D’ici 2026, les batteries des voitures électriques devront en théorie avoir chacune leur propre passeport, pour une plus grande transparence sur le véritable cycle de vie de ces dernières.

Je ne sais pas si ça va résoudre quoi que ce soit mais au moins il y a une initiative.

D’ailleurs j’ai été regardé sur leur site pour voir s’il y avait également la provenance des matériaux et effectivement il y a bien la provenance ainsi que l’entreprise correspondante à l’extraction mais pas tout le temps avec une mention non divulgué ^^’

1 « J'aime »

Belle solution, mais la survie de l’humanité passera surtout vers une consommation beaucoup plus faible et plus efficiente des ressources, puis de leur recyclage…

4 « J'aime »

@remoss un type nommé Thanos à un bon plan, y’a que ça de vrai…

« une consommation beaucoup plus faible et plus efficiente des ressources, puis de leur recyclage… »
Ce qui est exactement le but de cette initiative :wink:

1 « J'aime »

Pour les occassions faudrait rajouter un diagnostic batterie au contrôle technique afin que l’acheteur sache où en sont les batteries.

4 « J'aime »

Non pas vraiment. Si la moitié de la population restante décide de bétonner la planète entière, le problème n’est pas vraiment résolu…

bah non, ce système permet une traçabilité totale, mais pas prioritairement de limiter la consommation au sens large (= pas forcément moins de batteries produites)

1 « J'aime »

oui, c’est pas son objet,
mais si ton lithium est tracé massivement, impose de très bonnes contraintes CO2, si possible issu de sources quasi renouvelables comme les sources d’eau Alsaciennes et Allemandes (donc sans impact minier) et que de ce que je comprends, le système imposera une part croissante de matériaux recyclés dans le mix de ta batterie, tu auras bien un énorme gain en impact minier , en impact co2, et en ressources primaires par batterie.

Sachant que déjà l’impact sur une durée de vie est supérieure à son équivalent pétrole, même sans cette traçabilité, c’est très positif.

Pour le fait d’avoir moins besoin de batterie « tout court » , c’est un autre dossier, qui dépend soit des urbanistes (et là c’est du très très long terme), soit des particuliers qui refusent les petites bagnoles et les petites autonomies.
Mais c’est pas le fait des legislateurs du sourcing matériaux.

Une idée brillante qui sera très utile au secteur automobile. Seulement, une petite remarque m’a traversé l’esprit: Le QR Code tel expliqué dans l’article permettra de lire des informations « statiques » tel expliqué dans l’article: L’historique complet de fabrication,
La provenance des matériaux de fabrication, l’ensemble des acteurs impliqués, ses performances en matière de durabilité, sa composition chimique exacte, son poids… Il me semble que ce serait plus sécurisé et innovant de connecter tous ces éléments à la Blockchain afin de les sécuriser et de permettre un envoi de données en continu, contribuant plus grandement à la recherche sur les batteries et leur évolution. Saluons l’exemple innovant d’Alfa Romeo sous le giron Stellantis, qui a innové en stockant le certificat numérique des véhicules dans la Blockchain pour assurer l’inviolabilité des données de ce dernier. Une idée à méditer. Bonne journée