Instagram a réalisé un vaste sondage auprès de membres de la génération Z, nés entre 1997 et 2010. Le réseau social partage ses résultats (très instagrammesques), et annonce les tendances qui gouverneront l’année 2024 pour ses jeunes utilisateurs.
Quid du niveau scolaire ? Il faut mieux éviter de le mentionner. Il ne fait pas partie du paramétrage d’Instagram.
2 « J'aime »
Génération de dégénérés malheureusement victime de leur exposition aux médias sociaux en push sur leurs téléphones depuis leur plus tendre enfance (cela inclut Instagram, qui est carrément du soft p0rn et qui pousse une génération à devenir soit « créatrice », soit « consommateur » d’OnlyFans…) !
C’est un peu comme la génération des années 70 exposée aux drogues, comme des rats de laboratoire en grandeur nature et sans aucun contrôle…
Hélas, ceux-ci sont perdus ! Nous devons apprendre de nos erreurs et limiter au maximum cette exposition aux smartphones et à leurs applications pour les enfants / les mineurs, tout en leur enseignant les risques d’addiction virtuelle « douce » et en leur permettant de se connecter et d’apprécier le monde « réel ».
C’est là la clé d’un meilleur avenir - et non les catégories de consommateur moyen lobotomisé présentées par Instagram…
Et pour contredire l’argument des esprits malléables à venir en commentaire : non, ne pas utiliser un smartphone ne fera pas de vous un « retardé technologique ». Même les singes peuvent utiliser ces appareils qui sont d’une simplicité irrésistible…
Le monde a changé. Je le vois dans l’eau, je le ressens dans la terre, je le sens dans l’air.
Beaucoup de ce qui existait jadis est perdu, car aucun de ceux qui vivent aujourd’hui ne s’en souviennent.
Comment ça ce n’est pas de moi ? 
1 « J'aime »
Les réseaux sociaux, et TikTok particulièrement, est toxique pour les capacités cérébrales. Des études estiment que les addicts à ma plateforme ont l’équivalent de 14 points de QI en moins du fait des conséquences de la surexposition aux shots de dopamines suscités par la plateforme.
La conséquence la plus grave pour faire court est une incapacité de ne pas se jeter sur son tel toutes les x minutes (de 3 à 7), ce qui empêche d’être réellement concentré durablement.
C’est grave, car arriver à se concentrer durablement est la base pour apprendre correctement, et pour structurer une pensée complexe… Or des gens qui n’ont pas de pensée complexe c’est l’assurance de la montée des extrêmes et la fin de la démocratie.
Au-delà de ça (…) les shots de dopamine créé une addiction qui réduit l’intérêt de la vie réelle, où tout est plus long que les quelques secondes des shots TikTok. Tout parait de plus en plus fade à l’addict qui fatigue vite, bien évidemment en lisant, mais aussi avec un simple film de 2 heures… Bref ça rend malheureux tout en bouffant notre énergie pour rien.
« En vrai » (comme disent les jeunes toutes les 3 minutes) c’est inadmissible que ce truc qui utilise les mêmes pratiques que les casinos pour piéger ses utilisateurs soit légal. Surtout qu’il s’agit souvent d’enfants et d’adolescents !!!
Instagram est moins addictif donc moins dangereux, même si bien sûr la volonté d’addiction est la même. Le concept de TikTok est pire car rien n’est aussi addictif que la vidéo qui capte immédiatement notre attention.
3 « J'aime »
C’est bien vrai. Perso je ne me suis jamais mis sur Tiktok que j’estime être toxique mais je m’étais remis sur Instagram pour suivre les amis et finalement je l’ai supprimé car pollué par les autres vidéos addictives.
En tout cas, de ce que j’ai vu, tous les jeunes veulent être influenceurs, ça fait vraiment peur.
1 « J'aime »
Malheureusement, ce n’est pas gagné.
Hum. Comme vous dites, la génération Z né en 2010 et ayant donc 13 ans cette année est majoritairement célibataire. Je trouve pas ça déconnant pour des enfants …
Mettre dans le même bateau, sur la même génération des enfants de 13 ans et des adultes de 26 ans, je ne trouve pas ça très pertinent.
1 « J'aime »
Même toi tu ne t’en souvient pas 
smover : Les réseaux sociaux, et TikTok particulièrement, est toxique pour les capacités cérébrales.
J’ai tendance à aussi penser cela (sur l’impact nuisible des réseaux sociaux et la dépendance que cela peut entraîner). Cependant, j’ai aussi le sentiment que les « nouvelles générations » sont de plus en plus sensibles à cela.
En tant qu’animateur pour des 11-14 ans, j’ai côtoyé les 3 dernières générations (Y, Z et Alpha). Et chacune a des codes et des outils différents. Cependant, à partir de 2012, j’ai vu que les jeunes commençaient à se distancer des réseaux sociaux. Oui, ils utilisent Tiktok par exemple mais ils sont très sensibles aux informations collectées ou qui peuvent être détournées à leur insu. On voit aussi que les parents essayent d’encadrer ces utilisations.
Au départ, c’était surtout lié à la prise de conscience de ces jeunes sur l’intimidation (scolaire, social ou via les réseaux).
StephaneGotcha : Mettre dans le même bateau, sur la même génération des enfants de 13 ans et des adultes de 26 ans, je ne trouve pas ça très pertinent.
Les étiquettes (de génération) se renouvellent en général sur une période cyclique de 15 ans, mais ce n’est pas non plus une règle absolue. Et il est tout à fait vrai que la pertinence est effectivement débattable / relative.
En général, ce sont ces périodes qui sont utilisées :
- génération Alpha (2010 - 2025)
- génération Z (1997 - 2009)
- génération Y (1984 - 1996)
- génération X (1966 - 1983)
- génération Baby Boomer (1945 - 1965)
- génération Silencieuse (1925 - 1945)
Mais quand je lis l’article / étude de McKinsey, cela me paraît censé et logique.
je ne sais plus ou j’ai lu l’enquete mais cela se resumait aux gens nes en 80-90s etaient plus accrocs a leurs smartphones que les jeunes les suivant. Je ne connais pas beaucoup de jeunes et j’en suis reste aux forums - il n’y a pas si longtemps on glorifiait « les geeks » (certes en mettant le terme a toutes les sauces)