Commentaires : Que se passerait-il si Stadia disparaissait ? Un ponte de Google répond

En fait ça ne nous a JAMAIS appartenu…
L’utilisateur paie le droit d’utiliser une licence (c’est réellement écrit comme ça dans le CLUF).

Ce n’est pas tout à fait ça.
Ce qui ne nous appartient pas, ce sont les droits de propriété intellectuelle sur le jeu.
D’un point de vue légal, l’utilisateur acquiert une licence d’utilisation non exclusive. La licence nous appartient bel et bien. Et s’il n’est pas indiqué le contraire, de manière perpétuelle.
En France, la loi tolère même de faire une copie de sauvegarde des supports(Copie de sauvegarde, pas piratage).

Permettez moi de vous dire que vous manquez de recul.

Les jeux que j’ai acheté il y a presque 40 ans, je les ai toujours et l’on peut toujours y jouer malgré le fait que la plupart de leurs éditeurs n’existent plus. Et c’est toujours un plaisir d’y revenir, même si c’est parfois très longtemps après.

Je pense que les jeux actuels n’existeront plus dans 20 ans. Car ils sont trop liés à des serveurs en ligne, à du cloud, à des techno éphémères.

Dans quelques décennies, je pense qu’au delà de la perte financière, vous aurez des regrets de ne pas pouvoir y rejouer.

Mais au fond, on subit déjà cette arnaque. Les protections des jeux PC des années 2000 ne sont plus compatibles avec Windows 10. Et il faut donc… repayer.

Merci pour tout ceux qui ont acheté des jeux originaux au prix fort. On se sent à peine pigeonnés…

C’est le principe de l’abonnement: tout pendant que tu paies t’y à droit, et si tu arrêtes ou que le service ferme, tu n’as plus rien.
Tout le monde s’y met et je dois bien dire que ça ne me plait pas des masses (et on sait bien que l’intérêt principal est pour le fournisseur de service, pas l’abonné).

Et là en plus, j’achète mon jeu 60€ et je dois en plus payer tous les mois pour y jouer?!
Je ne pense pas que ça passera par moi…

des jeux, j’en ai. plusieurs, sont des licences “dématérialisées”.
les plateformes, commencent à 'laisser tomber" certains jeux, en ne leur apportant plus aucun soutient : elles vous renvoient à leur “fabricant”, qui lui, les a purement et simplement oubliés.
les plateformes de jeux, c’est une arnaque.

Non une licence ne t’appartient pas, elle t’es accordé/octroyé/attribué/etc., Blizzard peut par exemple la révoquer sans problème et tu n’as rien à dire…

Alors qu’il est illégale de te privé de quelque chose dont tu serais propriétaire (c’est le droit de propriété).

Non une licence ne t’appartient pas, elle t’es accordé/octroyé/attribué/etc.

Désolé de vous contredire, mais vous vous trompez totalement. Vous confondez licence et propriété intellectuelle.

C’est simple, une licence est un contrat qui règlements un échange.

Pour simplifier : Un droit d’utilisation contre un payement.

A partir du moment ou vous avez rempli votre part du contrat (Payement + acceptation + respect des clauses) vous êtes en droit LEGAL d’exiger la contrepartie.

Dans le cas contraire, il y a ce qu’on appelle un enrichissement sans cause.

Une entreprise n’a pas le droit de prendre votre argent comme ça sans vous fournir quelque chose de tangible en échange.

Blizzard peut par exemple la révoquer sans problème et tu n’as rien à dire…

Bien sûr que non.

L’éditeur utilise simplement des clauses du contrat qui prévoit une suspension de ses prestations en cas de mauvais usage (hacking, triche, etc). Ou en arguant de mesures conservatoires pour faire cesser un trouble manifeste.

Cela ne veut pas dire pour autant qu’un éditeur peut mettre ce qu’il veut dans son contrat et le résilier comme cela lui plait. C’est particulièrement vrai en droit français.

La notion de clause abusive existe. Et les associations de consommateur ont déjà fait retoquer certaines pratiques.

Alors qu’il est illégale de te privé de quelque chose dont tu serais propriétaire (c’est le droit de propriété).

Et c’est bien le cas. En matière de gestion, le bénéfice d’une licence est bien considéré comme une valeur en votre possession.

Pour vous en convaincre, je vous recommande de regarder comment s’enregistre l’achat d’un logiciel couteux dans la comptabilité d’une entreprise.

C’est simple, on considère sur le moment que l’achat n’a rien fait perdre à l’entreprise puisque la perte d’argent est contrebalancée par un droit d’usage qui représente un actif tangible.

Voila.