Commentaires : Quatre mots et un bug juridique ont fait capoter le blocage des sites pornos en France

La bataille judiciaire autour de la lutte contre la pornographie en ligne tourne-t-elle au fiasco ? Une simple erreur de nom de domaine a fait voler en éclats une décision historique de protection des mineurs.

Initiative naïve exécutée par des incompetents et payée avec les impôts du contribuable.

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Tant mieux !

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Virez moi donc ces services qui nous coutent du fric.

La justice tu veux dire ?
Pour rappel, c’est la plainte qui n’a pas été libellée correctement. La « faute » est donc du côté des associations.

bordel, laissez nous nous palucher tranquillement …

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Ce n’est pas nouveau. Tout cela me rappelle la chanson de Nofx, « Vanilla Sex » pourtant pas nouvelle (1989) qui est très raccord avec vos commentaires.

Petite astuce pour les administrations qui préparent ces affaires. Les sites pornographiques sont confédérés autour d’un label RTA. Donc pas besoin de recruter un expert digital chargé d’établir une liste noire, avec une prime de pénibilité pour visionnage de contenu adulte. Ils pourraient également faire appliquer l’obligation d’installer un filtre parental sur les appareils neufs, obligation fictive sur le terrain, et obligation qui ne s’applique pas au matériel d’occasion.