Je passe volontairement au dessus du fait que, par essence, la liberté est contrainte et j’irais à l’essentiel.
Je trouve les principes d’équilibre et de respect que tu évoques intéressants.
Ce qui me chagrine en revanche c’est que, paradoxalement, tu ne respecte pas ce principe d’équilibre entre le vendeur et l’acheteur. Ils sont pourtant tous deux responsables devant la vente d’un produit. Ils sont captifs l’un de l’autre. Ils ont tous deux des désirs (différents) à assouvir (on ne juge pas !). Ils sont tous deux contraints; et je dis contraints dans le sens des bornes qui définissent la liberté. Et ils doivent tous les 2 avoir du respect mutuel et de l’amour propre.
Ainsi, pour parler simplement, il doit y avoir ni volonté d’escroquer ni acceptation d’être pigeonné; ça va dans les 2 sens, encore une fois. Et tu résumes parfaitement ça :
Ce qui vient polluer le débat pourtant simple d’un acte d’achat, c’est le prisme de chacun. Pour certains c’est une escroquerie, pour d’autres c’est normal, c’est la liberté, c’est de la contrainte, etc. Franchement peu importe tant que, comme tu le dit, les 2 parties y trouvent leur compte. Mon propos c’est juste celui-là.