Pensé pour garantir un web résilient et décentralisé, le protocole IPFS se retrouve aujourd’hui dans le viseur de la Commission européenne. Dans sa dernière liste noire des services hors UE accusés de faciliter la contrefaçon et le piratage, le système d’hébergement pair-à-pair rejoint les rangs des plateformes jugées problématiques. Une décision qui interroge, tant sur l’interprétation du rôle des technologies que sur l’équilibre entre liberté d’accès à l’information et lutte contre les usages illicites.
IPFS n’est pas réellement prévu pour contourner la censure mais pour être résilient.
Si c’était pour contourner la censure, on anonymiserait les utilisateurs comme Tor.
Beinh interdisons internet , tout simplement, avec une simple requête google intitle:« index of » tu peux trouver tout et n’ importe quoi ! Pas besoin de BitTorrent ou autre protocol ! Https permet a lui seul de télécharger les fichiers piratés .
Encore une fois, la bureaucratie européenne tout comme nos législateurs démontrent leur totale incompétence sur des sujets techniques qui les dépassent.
Autant un service pour contourner l’obligation légale de retrouver l’identité d’un propriétaire de site, ça se comprend tout à fait, mais un protocole technique utilisé à mauvais escient ne peut pas être blâmé.
La world company c’est les ayant droit en définitive, pour protéger leurs rentes, on est prêt à toutes les attaques liberticides.
+1000 : Ils « délibèrent/imposent » sur un sujet qu’ils ne maîtrisent ABSOLUMENT PAS
Il faut noter que l’on a le droit de contester comme nous le faisons actuellement, vive la démocratie.
Il y a une erreur, ils vont corriger.
Le danger des communications cryptées de bout en bout est plus grand. C’est le dévoiement de l’utilisation par les criminels qui pose un problème.
Le coffre-fort physique, un juge peut l’ouvrir. Revenons aux basiques et arrêtons de vouloir être au dessus des lois avec le numérique, il faut une solution pour revenir dans un monde de confiance. La liberté est toujours contrainte, la liberté absolue n’existe pas, c’est simplement une utopie.
Pour avoir un monde de confiance, faut des gens de confiance, à commencer par les dirigeants, politiques ou patrons.
On en est loin, ils trempent pour une grande partie dans la corruption et ne cherchent qu’à asservir un peu plus les masses chaque jour.
La criminalité et les mafias n’ont pas besoin de quelque outil numérique pour prospérer, juste d’un monde corrompu jusqu’à l’os.
Les triades prospèrent en Chine, pourtant le parangon du flicage de masse, et ce n’est pas pour rien.
Nestlé en France n’a pas eu besoin de l’ipfs pour s’approprier des ressources en eau et les revendre une fortune en fraudant comme des porcs au passage, juste de la complaisance et de la protection des autorités sensées nous protéger de tels actes, mais qui ont tout fait pour le cacher et ne font toujours rien pour les faire cesser cette fraude.
Ce système prospère de la crédulité de tes pairs.